• Martine Ouellet appuie le Salon du livre jeunesse pour la 3e année consécutive

    Saint-Hubert, lundi 13 février 2017 – La 11e édition du Salon du livre jeunesse de Longueuil a eu lieu du 10 au 12 février. L’évènement a accueilli de nombreuses écoles et familles qui ont pu bouquiner et assister à plusieurs activités gratuites. C’était l’occasion pour Martine Ouellet, députée de Vachon, de s’associer à l’évènement et d’aider les écoles de sa circonscription.

    La députée de Vachon s’associe à la Fête de la lecture et du livre jeunesse de Longueuil pour la 3 e année consécutive. Grâce à cette collaboration, c’est plus de 1 500 livres qui ont été donnés dans les écoles de Saint-Hubert. Près de 15 000 enfants ont ainsi la chance de découvrir et d’apprécier la lecture à travers ces nouveaux livres d’auteurs québécois. Cette année, les livres ont été distribués en présence des représentants de quatre établissements scolaires : l’école Paul Chagnon, l’école d’Iberville, l’école du Jardin Bienville et l’école de La Mosaïque. Dix écoles profiteront de nouveaux livres cette année.

    Martine Ouellet croit en l’importance d’encourager la lecture d’œuvre d’auteur d’ici. « Pour moi, c’est essentiel d’encourager la lecture chez les jeunes. Les auteurs et les illustrateurs jeunesse font un travail extraordinaire : ils créent avec passion des univers fascinants qui interpellent nos jeunes. Il faut les soutenir pour faire vivre cet élément important de notre culture » a déclaré Martine Ouellet. Mme Ouellet est heureuse de constater que son initiative a inspiré la nouvelle députée de MarieVictorin, Mme Catherine Fournier, qui s’est jointe à la collaboration. Plus il y aura de députés qui appuieront l’accès à la lecture, plus il y aura d’enfants qui pourront éveiller leur imaginaire.

  • ENGAGEMENT ÉLECTRIQUE : UNE COALITION MULTIPARTITE D’ÉLU(E)S VEUT FAIRE DE L’AGGLOMÉRATION DE LONGUEUIL LA CAPITALE DES TRANSPORTS ÉLECTRIQUES EN AMÉRIQUE DU NORD

     

    LONGUEUIL – Dans un esprit de collaboration, six députées et députés représentant quatre partis de  l’Assemblée nationale et de la Chambre des communes annoncent leur collaboration au sein d’une coalition non partisane pour faire de la Rive-Sud la capitale nord-américaine de l’électrification des transports.

    La coalition regroupe les député(e)s :

    • Martine Ouellet, députée de Vachon
    • Diane Lamarre, députée de Taillon
    • Catherine Fournier, députée de Marie-Victorin
    • Xavier Barsalou-Duval, député de Pierre-Boucher—Les-Patriotes—Verchères
    • Nathalie Roy, députée de Montarville

    et   Pierre Nantel, député de Longueuil—Saint-Hubert

    «Aujourd’hui, nous faisons front commun : nous sommes six élu(e)s qui travaillent ensemble face à l’urgence du réchauffement climatique. Électrifier nos transports, c’est aussi saisir des opportunités et miser sur un secteur de pointe qui caractérise déjà l’agglomération de Longueuil», ont affirmé les député(e)s.

    «Nous avons une grande ambition de voir notre région devenir un leader mondial du secteur de l’électrification des transports. L’agglomération de Longueuil est déjà une pionnière  avec son technopôle des transports durables et intelligents, IVÉO. On peut aller plus loin et créer chez nous une véritable Silicon Valley des transports électriques.» 

    Les député(e)s invitent les citoyennes et citoyens à passer à leur bureau de circonscription pour signer une pétition double, qui incite  les deux gouvernements à mettre en place les conditions économiques pour favoriser la création d’emplois dans le secteur de l’électrification des transports sur leur territoire. C’est une pétition unique en son genre : elle a été rédigée pour les deux législatures et permet du même coup de faire entendre sa voix dans les deux parlements. Une version numérique de la pétition sera également mise en ligne.

    Le maire de Boucherville, monsieur Jean Martel, le maire de Saint-Bruno-de-Montarville, monsieur Martin Murray, et le maire suppléant de Saint-Lambert, monsieur Hugues Létourneau, appuient par leur présence la volonté de faire de l’agglomération de Longueuil la capitale de l’électrification des transports en Amérique du Nord.

    « Nous voulons donner à nos concitoyens le pouvoir de prendre la parole et inciter les élus et les gouvernements à passer à l’action, à travailler ensemble pour amener des nouveaux investissements internationaux en électrification, tout en propulsant l’expertise de nos pionnières, ici même dans l’agglomération de Longueuil», ont conclu les député(e)s.

    « L’idée, c’est de rassembler les gens de tous les partis politiques et de tous les milieux sur un enjeu urgent qui ne peut plus attendre. La lutte aux changements climatiques, les technologies propres et les bons emplois qui seront créés sont une priorité; nous invitons donc toutes les citoyennes et tous les citoyens à participer à cet enthousiasme social qui sera fondamental pour faire des transports une signature de l’agglomération.»

    APPUI

    «Pour limiter l’impact des changements climatiques, Équiterre propose que 50 % des nouveaux véhicules vendus au Québec soient électriques à partir de 2025. L’urgence d’agir exige que les élus provinciaux et fédéraux travaillent ensemble pour le bien commun. Je me réjouis donc de l’annonce d’aujourd’hui et j’ai espoir que cette coalition puisse servir de modèle partout au pays.»

          •   Steven Guilbeault, directeur principal et fondateur d’Équiterre

     

    La pétition est ici

     

  • Infractions répétées au projet pilote Uber – Le ministre Lessard doit mettre ses culottes et imposer des sanctions

    Québec, le 25 janvier 2017 – Martine Ouellet, porte-parole du Parti Québécois pour l’industrie du taxi, ainsi que Catherine Fournier, porte-parole en matière de protection des consommateurs, demandent au ministre des Transports, Laurent Lessard, de cesser d’être complaisant envers UberX et d’imposer le respect de l’entente, intervenue l’automne dernier, par l’application des sanctions prévues.

    En effet, hier matin, alors que les citoyens de la grande région de Montréal composaient avec des conditions météorologiques exécrables, des rues transformées en patinoires et des services d’autobus paralysés, UberX en a profité pour multiplier ses tarifs habituels par quatre. Or, il s’agit d’une violation flagrante de l’entente régissant le projet pilote, qui limitait une telle augmentation des tarifs de base à une fois et demie, en cas de force majeure.

    « Le ministre Lessard fait preuve d’une complaisance injustifiée envers UberX depuis son entrée en fonction. Non seulement a-t-il accepté de négocier avec une entreprise accusée de fraude fiscale mais, en plus, il a modifié la loi pour garantir l’aboutissement du projet pilote, notamment pour permettre à l’entreprise de court-circuiter tout le processus d’auditions devant la Commission des transports qui, autrement, aurait été pour elle un passage obligé. Le ministre doit se ressaisir et protéger les consommateurs contre les abus d’UberX », a déclaré Martine Ouellet.

    « D’un côté, l’entente sur le projet pilote en prévoit la fin en cas de non-respect des conditions par UberX. De l’autre, les directives prévoient l’imposition d’amendes pour ces violations. Le ministre Lessard a donc tous les outils nécessaires pour intervenir et faire respecter la loi. Il doit sanctionner UberX pour ses infractions », a ajouté la porte-parole.

    « Devant la multiplication des infractions au projet pilote, révélées dernièrement par les inspections du Bureau du taxi de Montréal, la moindre des choses serait que le ministre des Transports consacre enfin autant d’énergie à défendre la loi et les consommateurs qu’à accommoder Uber. Il est inacceptable qu’après les chauffeurs de taxi, les consommateurs fassent maintenant les frais des pratiques d’UberX, comme nous l’avons vu hier! », a conclu Catherine Fournier.

  • Cérémonie des Oscars – « Chapeau à Denis Villeneuve pour ses 8 nominations! » – Martine Ouellet

    Québec – La porte-parole du Parti Québécois en matière de culture et de communications, Martine Ouellet, salue avec enthousiasme le spectaculaire succès du cinéaste québécois Denis Villeneuve, dont le film Arrival – ou L’Arrivée, au Québec – est sélectionné dans huit catégories, dont celles de la meilleure réalisation et du meilleur film, en vue de la 89e cérémonie des Oscars qui se tiendra le 26 février prochain. Du jamais-vu pour un cinéaste québécois!

    « Denis Villeneuve devient le premier Québécois francophone à obtenir une nomination en tant que meilleur réalisateur aux Oscars, une catégorie prestigieuse toujours chaudement disputée. Son nom s’inscrit désormais aux côtés de celui des plus grands réalisateurs de notre époque. Son talent immense, déjà reconnu à travers le monde, reçoit aujourd’hui une confirmation pleinement méritée, a déclaré Martine Ouellet. Comme tous les Québécois, j’aurai les doigts croisés le 26 février prochain! »

    Denis Villeneuve n’en sera pas à ses premiers pas sur le tapis rouge hollywoodien. En 2014, son film Prisoners avait obtenu une nomination pour la meilleure direction photo et, l’an dernier, c’est Sicario qui était en lice pour les prix meilleure bande originale, meilleure direction photo et meilleur montage sonore. Mentionnons également l’inoubliable Incendies, sélectionné aux Oscars en 2011 dans la catégorie meilleur film en langue étrangère. « Les créateurs québécois, donc la culture québécoise, rayonnent de manière forte et vivante partout sur la planète! L’enthousiasme que suscite le travail de Denis Villeneuve l’illustre de façon éclatante. Il faut faire tout ce qui est en notre pouvoir pour que les artistes québécois puissent continuer d’être des ambassadeurs de ce que nous sommes, ici et sur tous les continents. La culture, c’est l’âme d’un peuple! », a conclu Martine Ouellet.

  • La culture québécoise à l’heure du numérique – Le Parti Québécois propose des gestes concrets pour soutenir les artistes québécois

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    Québec – Le chef de l’opposition officielle, Jean-François Lisée, et la porte-parole du Parti Québécois en matière de culture, de communications, d’économie numérique et de commerce électronique, Martine Ouellet, ont proposé des mesures concrètes pour assurer une meilleure visibilité des créations québécoises sur les plateformes numériques et un meilleur financement de la culture au Québec.

    « À l’approche du Gala de l’ADISQ, le Parti Québécois a souhaité réaffirmer son attachement à la culture et aux artistes et artisans qui la font vivre. C’était le sens de la motion que j’ai présentée et qui a été adoptée unanimement, hier : assurer la juste rémunération des créateurs sur l’ensemble des plateformes qui diffusent leurs œuvres. Et c’est le sens des propositions que nous présentons aujourd’hui », a déclaré Martine Ouellet.

    « La culture québécoise est unique et fondamentalement distincte de toutes celles qui nous entourent. Cette réalité doit s’incarner sur les différentes plateformes qui servent à la diffuser, en particulier les nouvelles plateformes numériques. Et elle doit y être visible. Tant les sites de vente en ligne que ceux qui permettent la diffusion en continu doivent offrir à leurs clients au Québec des pages d’accueil spécifiques mettant en avant au moins 70 % de créations québécoises, dont 65 % francophones. Il n’est évidemment pas question ici de restreindre le contenu de l’offre en ligne, mais bien de favoriser les œuvres francophones et québécoises en vitrine de ces sites. En musique, bien sûr, mais aussi en cinéma ou en littérature – iTunes, Spotify, Google Play, Netflix, etc. –, les Québécois veulent avoir accès aux artistes d’ici et il faut que cet accès soit facilité par les plateformes de diffusion », a poursuivi le chef de l’opposition officielle.

    « Les acteurs numériques, qui occupent une part de plus en plus importante du marché, doivent par ailleurs contribuer au financement de la culture en général. Le gouvernement doit agir dans les plus brefs délais pour que les transactions en ligne soient enfin soumises à la taxe de vente du Québec, comme le sont les ventes en magasin. Que ce soit par la sensibilisation des représentants de l’industrie ou, si nécessaire, l’utilisation de moyens légaux, le gouvernement a plusieurs leviers à sa disposition. Il pourrait, notamment, s’appuyer sur les intermédiaires de transaction – comme l’a suggéré Marwah Rizqy, professeure au département de fiscalité de l’Université de Sherbrooke –, ou qu’il assujettisse directement les sites concernés, mais il doit mettre fin à cette iniquité. Ce sont plusieurs millions de dollars qui pourraient ainsi être récupérés et investis en culture », d’ajouter Jean-François Lisée.

    « La culture, c’est l’âme d’un peuple. Il faut donc soutenir nos artistes, pour une plus grande diversité créative au Québec, et ce, dans toutes nos régions. Gérald Godin pour le cinéma, ou Louise Beaudoin pour les logiciels, avaient su trouver des solutions adaptées à leur époque. Il est grand temps que le gouvernement prenne ses responsabilités afin que la culture québécoise rayonne encore davantage, tant sur la scène nationale qu’internationale. Il ne faut jamais oublier, non plus, que la culture est l’un des trois secteurs les plus créateurs d’emplois au Québec; c’est donc un investissement très rentable », a conclu Martine Ouellet.

  • Journalistes sous surveillance – Le Parti Québécois veut une enquête réellement publique, indépendante et non partisane

    Québec, le 3 novembre 2016 – Le chef de l’opposition officielle, Jean-François Lisée, et les porte parole du Parti Québécois en matière de sécurité publique, de justice, et de culture et de communications, Pascal Bérubé, Véronique Hivon et Martine Ouellet, saluent la décision du gouvernement d’octroyer des pouvoirs de commission d’enquête au comité d’experts chargé de faire la lumière sur les pratiques des trois principaux services de police du Québec en matière d’enquêtes internes à propos de fuites d’information auprès de la communauté journalistique. Toutefois, ils réclament des précisions quant au mandat du comité, à la durée de son exécution et au mode de diffusion de son rapport.

    « Nous continuons d’insister sur le caractère non partisan de la démarche, comme l’avait lui-même indiqué le premier ministre, mardi dernier. La collaboration promise par le premier ministre ne s’est toujours pas concrétisée. Le mandat doit par ailleurs être précisé en collaboration avec les autres partis afin, notamment, de s’assurer que la période de l’affaire Davidson-Dutil soit incluse dans l’examen des faits, ainsi que celle couvrant les fuites associées aux accusations contre Nathalie Normandeau », a déclaré Jean François Lisée.

    « Dès aujourd’hui, le gouvernement doit préciser, contrairement au certain flou entretenu lors de l’annonce, que la commission d’enquête sera publique, ce qui est absolument nécessaire pour assurer la confiance dans le processus, confiance déjà suffisamment ébranlée depuis les révélations du début de la semaine », a pour sa part indiqué Véronique Hivon.

    « Nous ne comprenons toujours pas pourquoi le gouvernement refuse de retirer de ses fonctions le directeur du Service de police de la Ville de Montréal, Philippe Pichet, le temps de faire toute la lumière sur ces histoires. Pourtant, la Charte de la Ville de Montréal lui permet de le faire. Le directeur Pichet a manqué de jugement en autorisant la surveillance électronique de journalistes, et il maintient avoir bien agi, ce qui est inacceptable », estime quant à lui Pascal Bérubé.

    « On doit aussi regarder du côté fédéral. L’Assemblée nationale doit exiger que Justin Trudeau oblige la Gendarmerie royale du Canada et le Service canadien du renseignement de sécurité à confirmer, publiquement et formellement, qu’il n’y a pas eu d’écoute ou de filature de journalistes, ni d’autre atteinte à la liberté de la presse ou à la protection des sources. Se contenter de dire que tout est correct, comme il l’a fait aujourd’hui, est volontairement flou et nettement insuffisant », a conclu Martine Ouellet.

  • Industrie du taxi: Le gouvernement contourne la loi pour favoriser Uber

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    Québec, le 21 octobre 2016 – Martine Ouellet, porte-parole du Parti Québécois pour l’industrie du taxi, dénonce le décret d’urgence sur Uber adopté par Québec, qui force la Commission des transports du Québec à émettre directement un permis d’intermédiaire à l’entreprise, sans consultation.
    « Alors qu’Uber continue de bafouer les lois du Québec, le ministre des Transports lui donne un passe-droit, passe l’éponge sur son comportement délinquant et bâillonne les intervenants », a déclaré Martine Ouellet.
    Rappelons que l’article 34.2 de la Loi concernant les services de transport par taxi permet à la Commission des transports de refuser d’émettre un permis d’intermédiaire à une entreprise qui ne respecte pas les lois en vigueur. La commission a déjà refusé, en 2014, d’accorder un tel permis à une entreprise qui, comme Uber, opérait au mépris de la loi.
    « En 2014, la Commission des transports avait refusé d’octroyer un permis d’intermédiaire à Taxi 9001, étant « d’avis [qu’elle ne pouvait] traiter avec des transporteurs non respectueux des lois et des règlements qui gouvernent le transport par taxi au Québec ». Il est évident que le ministre Lessard était au courant de cette décision; il aura simplement voulu la contourner pour favoriser Uber. En mettant de côté les auditions de la Commission, c’est l’État de droit que le ministre écarte pour faire plaisir à ces délinquants », a ajouté la députée de Vachon.
    « Nous savions que l’éthique n’était pas importante pour le ministre Lessard, et il démontre ici que l’État de droit ne l’est pas plus à ses yeux quand vient le temps d’accommoder, sur ordre du premier ministre, des entreprises qui violent la loi et qui font de la fraude fiscale », a conclu Martine Ouellet.

  • Vers la gratuité scolaire avec Martine Ouellet

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    Montréal, le mardi 6 septembre 2016 – Martine Ouellet, candidate à la chefferie du Parti Québécois et députée de Vachon, a annoncé qu’elle ira vers la gratuité scolaire de la maternelle à l’université pour enrichir tout le Québec. « La gratuité scolaire, ce n’est pas une dépense publique, c’est un investissement payant! À long terme, la mesure se finance d’elle-même puisqu’en moyenne, dans les pays qui l’ont instaurée, les citoyens vont plus longtemps à l’école, gagnent ensuite des salaires plus élevés et payent donc plus d’impôts. La gratuité scolaire, c’est du développement économique intelligent », a déclaré la candidate.

    La gratuité scolaire, c’est payant

    La question qu’il faut se poser, ce n’est pas si le Québec a les moyens de se payer la gratuité scolaire, mais plutôt est-ce que nous avons les moyens de nous en passer? « Avec le vieillissement de la population qui crée une rareté de la main-d’œuvre et la forte compétition internationale, le Québec doit mettre en place des politiques ambitieuses pour rivaliser avec les économies avancées », a ajouté Martine Ouellet. « Notre plus grande richesse, c’est notre matière grise et c’est pourquoi nous devons faire tomber les barrières qui nous empêchent d’atteindre notre plein potentiel, » a poursuivie la candidate.

    Pour le Québec, la gratuité scolaire, c’est environ 600 millions $ par année, c’est-à-dire 0,6 % du budget 2015-2016. Afin de financer cette politique structurante, la candidate s’engage à rétablir la taxe sur les banques et celle sur le capital en dormance qui ont été abolies par le gouvernement Charest. De plus, avec l’indépendance du Québec et le rapport d’impôt unique, c’est 600 millions $ que le Québec va économiser chaque année. À long terme, la mesure va s’autofinancer.

    Brillons parmi les meilleurs

    Comme chef du Parti Québécois, Martine Ouellet s’engage à mettre tout en œuvre pour faire briller le Québec parmi les meilleurs au monde. « Déjà, huit pays de l’OCDE dont la Suède, la Finlande et la Norvège ont instauré la gratuité scolaire et leurs économies brillent parmi les meilleures», a conclu Martine Ouellet.

  • Remaniement ministériel – Transports – Le Parti Québécois demande à Laurent Lessard d’agir

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    Québec – La députée de Vachon et porte-parole du Parti Québécois en matière de transports, de stratégie maritime et d’électrification des transports, Martine Ouellet, souhaite la bienvenue au nouveau ministre des Transports, Laurent Lessard, tout en soulignant qu’il devra agir rapidement dans certains dossiers qui traînent.

    Industrie du taxi

    « D’abord, en ce qui concerne UberX, une multinationale étrangère, qui fait du taxi illégal, qui ne paie pas ses taxes et qui se cache dans les paradis fiscaux, nous nous attendons à ce que Laurent Lessard respecte la parole de ses deux prédécesseurs, Jacques Daoust et Robert Poëti, et qu’il ne crée pas deux classes de chauffeurs. UberX doit être soumise aux mêmes règles que le reste de l’industrie du taxi. Laurent Lessard ne doit pas se servir des projets pilotes pour créer de la concurrence déloyale et, par la porte d’en arrière, légaliser ce qui est illégal aujourd’hui. Rappelons-nous que des dispositions du projet de loi 100 sur l’industrie du taxi, qui doivent entrer en vigueur le 8 septembre prochain, donneront des poignées supplémentaires au ministre pour contrer le taxi illégal. Le ministre et le Parti libéral n’auront plus de prétexte pour tolérer l’illégalité. Ils devront faire respecter la loi », a insisté Martine Ouellet.

    Scandale au MTQ

    La députée est par ailleurs d’avis qu’il est essentiel que Laurent Lessard se souvienne de la crise qu’a traversée le ministère des Transports (MTQ) au printemps dernier. « Le ministre doit poursuivre le travail commencé par Annie Trudel pour rétablir la confiance du public envers le MTQ. Il doit aussi réintégrer Louise Boily dans ses anciennes fonctions de directrice des audits du MTQ, et veiller à ce que les professionnels en conformité des processus, les PCP, ne relèvent plus des directions territoriales du MTQ, où ils sont en conflit d’intérêts, mais plutôt de la haute direction au ministère. Laurent Lessard doit également s’engager à mettre un terme à la pratique consistant à confier des contrats aux anciens employés du ministère », a-t-elle réclamé.

    Transport de pétrole

    « Ensuite, le terrible accident survenu il y a quelques jours sur l’autoroute 40 nous a douloureusement rappelé les risques que le transport de pétrole représente pour la sécurité des citoyens. Nous exigeons que le ministre impose plus de transparence lorsqu’il est question des trajets et de la fréquence du transport de matières dangereuses, et qu’il rende publique toute l’information quant à la nature des produits transportés et aux risques qui y sont associés, que le transport soit effectué par camion, par train ou par bateau », a ajouté Martine Ouellet.

    Trafic nuisible pour la région de Montréal

    « Enfin, le trafic à Montréal et dans toute la région métropolitaine est rendu tout à fait intenable. À toute heure du jour ou de la nuit, il est possible de s’y embourber dans du pare-chocs contre pare-chocs. Très clairement, il y a une mauvaise planification des travaux et, avec le retour à l’école, la situation ne va qu’empirer. C’est un coup dur pour le développement économique de toute la région métropolitaine. M. Lessard doit aller plus loin que les mesures d’atténuation annoncées dernièrement. Il doit mettre en place des mesures encore plus importantes pour le transport collectif dont, par exemple, plusieurs nouveaux départs pour les trains de banlieue et les métros. Le nouveau ministre doit aussi fournir les ressources nécessaires pour accélérer l’achèvement des travaux. Il ne revient pas aux citoyens de subir indéfiniment les conséquences d’une décennie d’incurie libérale dans l’entretien de nos infrastructures routières », a conclu la députée de Vachon.

  • Stratégie maritime: Avec un si mince bilan, le premier ministre n’a pas de quoi se « péter les bretelles »

    Québec, le 13 juillet 2016 – La députée de Vachon et porte-parole du Parti Québécois en matière de transports et de stratégie maritime, Martine Ouellet, trouve surprenant que le premier ministre Philippe Couillard vante les mérites de sa stratégie maritime en Europe, en s’attribuant des investissements qui ne sont pas de son ressort, puisqu’ils proviennent en vaste majorité du gouvernement canadien.

    « Le premier ministre se pavane en Europe alors qu’il n’est pas en mesure de faire réparer le quai de Rimouski, ville phare de l’expertise québécoise. Comment peut-il, dans sa stratégie maritime, s’attribuer le mérite de ces investissements dans des infrastructures fédérales? Pour le reste, il s’agit d’un amalgame d’annonces qu’il utilise pour gonfler artificiellement sa stratégie. De plus, ces annonces découlent principalement de la stratégie touristique mise en place par le gouvernement du Parti Québécois », a déclaré Martine Ouellet.

    « C’est la façon de faire de ce gouvernement, des mots creux, des annonces vides. Les libéraux ne sont même pas en mesure de régler la protection de la zone de reproduction du béluga à Cacouna. Ils insistent pour faire un pôle logistique à Soulanges qui, en plus d’être situé sur les meilleures terres agricoles de la région, favorise le port de New York au détriment du port de Montréal. Sans parler des nombreuses sagas de la Société des traversiers : dépassement de coûts, mauvaise communication dans les commandes, hausses de tarifs. Pour une vraie stratégie maritime, il faut rapatrier tous nos actifs : ports, quais, voie maritime, et pour ce faire, le Québec doit être indépendant », a-t-elle conclu.