• Agir dès maintenant pour la reconnaissance internationale d’un Québec indépendant

    martine_hotroom

    Québec, le 7 juin 2016 : « Un de mes premiers gestes en tant que chef du Parti Québécois sera de réactiver tous nos réseaux au plan international, leur insuffler un nouveau dynamisme et les inviter à se multiplier pour propager le message que le Québec est une nation, qu’il a comme peuple un droit inaliénable à l’auto-détermination et qu’il aspire à devenir un pays indépendant. Je n’attendrai pas que nous formions le gouvernement avant d’agir. Je compte entreprendre ce vaste déploiement dès mon élection en tant que chef », a déclaré Martine Ouellet, candidate à la direction du Parti Québécois.
    Pour ce vaste déploiement en vue de la réactualisation de la question québécoise sur la scène internationale, Martine Ouellet mettra à contribution le réseau de contacts développé au cours des années par le Parti Québécois.
    Elle lancera également un appel aux indépendantistes de la société civile, ayant des liens avec l’étranger, afin qu’ils interviennent auprès des chancelleries et des administrations étrangères, ainsi qu’auprès de toutes les associations, groupes et personnalités amis du Québec, pour la reconnaissance du peuple québécois et de sa quête émancipatrice.
    « Une fois élue Première ministre, mon gouvernement transformera les bureaux du Québec à l’étranger situés dans les principaux endroits stratégiques en délégations générales du Québec dans les principales capitales. Elles auront pour mission, bien sûr, de continuer à représenter les intérêts du Québec à l’étranger, mais aussi de préparer le terrain pour la reconnaissance par la communauté internationale de la proclamation d’indépendance du Québec. Ces délégations générales du Québec formeront la base du futur réseau d’ambassades d’un Québec souverain », de préciser Madame Ouellet.

     

    « La politique étrangère et les traités internationaux sont fondamentaux pour les destinées d’un peuple, avec leurs incidences majeures aux plans économique, social et culturel. Dans le cas actuel, toute cette sphère est votée et adoptée par le Canada, alors qu’il serait plus que bénéfique pour le Québec d’entreprendre lui-même ses propres intérêts. Le Québec possède toutes les qualités pour se développer un rayonnement plus qu’enviable auprès des autres nations et ce potentiel ne cherche qu’a être entrepris », de conclure la candidate à la chefferie.