• Martine Ouellet pour une première fois de passage à Ottawa et reçoit l’appui de 3 autres députés du Bloc Québécois

    Martine Ouellet, candidate à la direction du Bloc Québécois

    Ottawa, le 13 février 2017 – C’est aujourd’hui que Martine Ouellet, candidate à la direction du Bloc Québécois, a fait son premier passage sur la colline parlementaire d’Ottawa. Lors de cette première visite, la candidate a présenté trois nouveaux appuis du caucus du Bloc Québécois, en plus de commenter et de communiquer ses attentes face à la visite officielle que rendra le premier ministre canadien, Justin Trudeau, au président américain Donald Trump. La députée de Vachon en a également profité pour réaffirmer ses recommandations quant à la renégociation probable de l’ALÉNA.

    Martine Ouellet reçoit l’appui de 3 députés du Bloc Québécois

    C’est avec fierté et enthousiasme que la candidate a annoncé que les élus Monique Pauzé, députée de Repentigny, Michel Boudrias, député de Terrebonne ainsi que Simon Marcil, député de Mirabel, donnent leur appui à sa candidature à la chefferie du Bloc Québécois.

    « Martine Ouellet est une femme qui sait rassembler, une femme dont les compétences et la volonté d’agir ne sont plus à prouver. Ex-ministre des Ressources naturelles, son engagement dans la cause environnementale résonne particulièrement chez moi, étant critique de notre parti en matière d’environnement et de développement durable. Elle a mon appui le plus sincère », affirme Monique Pauzé.

    « Je l’ai dit une première fois lorsque Martine Ouellet amorçait sa réflexion quant à son avenir au Bloc Québécois et je le répète : elle représente une candidature d’exception pour notre parti. Aujourd’hui, c’est avec fierté que je me joins à une militante indépendantiste infatigable, à une femme d’action et de conviction», a ajouté Michel Boudrias.

    « Je me bats depuis des mois pour que soit respecté notre système de gestion de l’offre, alors que l’importation de lait diafiltré des États-Unis met en péril l’industrie laitière du Québec.  Les propositions de Martine Ouellet sur l’Accord de libre-échange nord-américain me donnent l’assurance que les agriculteurs du Québec trouveront chez elle un soutien indéfectible », affirme le député de Mirabel Simon Marcil.

    Ces trois nouveaux appuis s’ajoutent à ceux de Gabriel Ste-Marie, député de Joliette, de Marilène Gill, députée de Manicouagan et de Xavier Barsalou-Duval, député de Pierre-Boucher-les-Patriotes-Verchères. Il y a donc maintenant six députés sur dix qui appuient Martine Ouellet dans sa course. « L’équipe des députés du Bloc Québécois rayonne par son dynamisme et sa conviction. L’expertise de chaque membre de ce caucus est complémentaire et contribue à la grande efficacité dont ils ont fait preuve depuis leur élection. C’est donc avec la valeur du travail en collégialité que je brigue la direction du parti. Et en ce qui concerne la course, ce n’est plus ma campagne à la direction du parti, mais notre campagne. Il me fait immensément plaisir de vous présenter la forme qu’aura notre équipe à partir d’aujourd’hui ! », a poursuivi Martine Ouellet.

    Rencontre Trump-Trudeau : Martine Ouellet appelle à moderniser l’ALÉNA

    L’équipe Ouellet propose des modifications à l’ALÉNA afin d’assurer les intérêts du Québec lors de la renégociation que le nouveau président américain a annoncée.

    « Nous avons pu constater l’empressement exprimé par le nouveau président des États à revoir le contenu du traité de l’ALÉNA. Entre un protectionnisme étroit prôné par Donald Trump et le libre-échangisme effréné et débridé de Justin Trudeau, le Québec risque fort d’en payer encore le prix. Nous souhaitons un libre-échange, mais ce doit en être un qui est équitable pour l’ensemble des citoyens. Le libre-échange doit servir d’abord les citoyens, les travailleurs, plutôt que de profiter presque exclusivement aux multinationales et aux entreprises étrangères », expose Martine Ouellet.

    La députée propose notamment de retirer la ‘’clause investisseur’’, qui permet aux entreprises de poursuivre les gouvernements, de conserver le Bois d’œuvre dans l’ALÉNA tout en supprimant les accords parallèles qui en diminuent la portée, de maintenir la gestion de l’offre dans le secteur agricole et de se doter d’une politique s’inspirant du Buy American Act. 

    « Étant encore dans l’impossibilité de négocier nos propres traités en fonction de nos intérêts et en respect de nos priorités, nous devons au moins avoir des positions claires. Je n’accepterai pas que les Québécoises et les Québécois continuent de n’être que des figurants dans la signature et la négociation de traités internationaux. La ‘’clause investisseur’’ constitue une atteinte grave à la démocratie et à la souveraineté des États », dénonce la candidate.

    Martine Ouellet, de passage à Ottawa pour rencontrer des députés du Bloc Québécois et l’équipe parlementaire, travaillera activement à ce que l’Accord de libre-échange nord-américain soit modernisé et corresponde mieux aux besoins du marché québécois.

     

    Pour consulter l’entièreté de la position de Martine Ouellet sur l’ALÉNA : http://martineouellet.quebec/actualite/renegociation-de-lalena-le-gouvernement-du-quebec-doit-se-positionner/

     

  • Le chanteur Martin Léon appuie Martine Ouellet!

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  • Alain Querry, président du Parti Québecois d’Acadie appuie Martine Ouellet!

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    « Après avoir fait une entrevue avec chacun des candidats et candidate à la chefferie du PQ, pu leur poser des questions sur l’ensemble de leur programme et de leurs idées, leur personnalité, leur sens politique et stratégique, voici mon constat;

    Malgré la combativité, les idées et les remises en questions de Céré, le défi du million de signature de Cloutier et son vent de fraicheur plus que bienvenue, le charisme de PKP.

    Celle qui m’a le plus impressionné par sa connaissance de l’État québécois, la clarté et la détermination dans sa marche pour l’indépendance, son approche social-démocrate et environnementaliste tout en assurant d’avoir une économie forte pour tout les québécois et non seulement pour la classe dirigeante. Elle représente un projet mobilisateur, soit notre pays, un Québec vert, prospère, égalitaire et surtout un Québec qui nous ressemble!

    Mon choix pour notre pays, le Québec, c’est Martine Ouellet »

    Alain Querry, Président du Parti Québécois d’Acadie

  • La présidente du PQ de Portneuf, Annie Morin, appuie Martine Ouellet

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    Annie Morin soutient que Martine Ouellet est la seule des candidats à avoir été claire et directe depuis le début de la course quant à ses intentions en matière de souveraineté, d’environnement et de développement économique.

    Martine Ouellet, députée de Vachon, promet notamment la tenue d’un référendum sur la souveraineté du Québec dès un premier mandat au pouvoir du PQ. «Il n’y a pas d’ambiguïté, elle a un plan et elle est la seule à ne pas avoir changé de discours», affirme Annie Morin.

    Découvrez la suite de l’article dans le Courrier de Portneuf.

  • L’équipe Ouellet rassemble des Québécois de tous les horizons

    Après des professeurs des HEC, des membres d’Option nationale, de Québec solidaire, l’organisatrice de l’équipe Lisée et bien d’autres encore, Martine Ouellet peut maintenant compter sur quatre centrales syndicales, cinq présidents du Parti Québécois de la Capitale-Nationale ainsi
    que d’anciens membres de l’équipe Drainville.

    Chers membres, bien que plusieurs tentent de vous convaincre que la course est terminée, c’est loin d’être le cas! La décision finale appartient à vous et à personne d’autre. Avec mon équipe, nous continuons à vous offrir nos idées semaine après semaine et nous récoltons encore de nouveaux appuis!

    Le Parti Québécois doit redevenir le parti des travailleurs et de la classe moyenne

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    Vendredi dernier, accompagnée par quatre syndicats qui représentent 200 000 travailleurs, j’ai proposé des mesures pour améliorer les retraites des Québécois et nos conditions de travail. Je propose de doubler le Régime des rentes du Québec, d’appliquer les mesures sur la prévention en matière de santé et sécurité à tous les milieux de travail, d’interdire les clauses orphelins pour les régimes de retraite et les avantages sociaux, de moderniser la loi anti-briseur de grève et de doter le Quebec d’une politique de l’aérospatiale.

    Communiqué : http://wp.me/p5pjoE-hv

    Martine Ouellet est première chez les présidents de la Capitale-Nationale

    Je suis heureuse de pouvoir compter sur cinq des présidents du Parti Québécois de la Capitale-Nationale! Comme moi, ils considèrent que le Parti Québécois doit se recentrer sur l’indépendance et la social-démocratie verte.

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    « Au début de la course, je voyais Pierre-Karl Péladeau comme celui qui pourrait le mieux convaincre les Québécois par rapport à la souveraineté sur l’argument économique, le plus utilisé par les détracteurs. Après six mois de course, je considère que c’est plutôt Martine Ouellet qui a démontré qu’elle est la plus apte à réaliser l’indépendance du Québec par sa clarté et sa transparence sur la souveraineté, sa capacité à rassembler des souverainistes de l’extérieur du parti, parce que c’est la candidate qui connaît le mieux l’économie du Québec et finalement par son pragmatisme, elle saura convaincre les Québécois en démontrant concrètement ce que l’indépendance va apporter. Je vous invite à considérer sa candidature. Ne vous fiez pas aux sondages, il y a encore beaucoup d’indécis. »
    − Maude-Amélie Verville, présidente de La Peltrie

    Communiqué : http://wp.me/p5pjoE-hd

    Martine Ouellet rassemble des membres de l’équipe Drainville

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    « Martine représente bien ces valeurs de social-démocratie verte qui sont les miennes. Elle a toutes les caractéristiques d’une leader. Elle est la seule femme à s’être présentée à la course à la chefferie et j’appuie totalement ses idées au niveau des travailleurs, de la retraite, des jeunes, de l’environnement, et surtout de son plan pour l’indépendance. »
    − Kathleen Nadeau-Richard, présidente régionale jeune pour la Montérégie
    Article du Devoir

    Tous ensemble, réalisons la deuxième Révolution tranquille, la Révolution tranquille verte avec l’indépendance du Québec!

    Martine Ouellet

    Vous aimez ce que je vous propose? Nous avons besoin de votre financement pour gagner : http://wp.me/P5pjoE-1b

  • Martine Ouellet officialise sa candidature accompagnée de membres de l’équipe Drainville

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    Montréal, le dimanche 26 avril 2015 – La candidate à la chefferie du Parti Québécois et députée de Vachon, Martine Ouellet, reçoit de nouveaux appuis et officialise sa candidature pour le vote du 13 au 15 mai prochain avec le deuxième versement de 10 000 $. « Le Parti Québécois doit recommencer à additionner et c’est ce que mon équipe fait depuis le début. Arrêterons de soustraire et recommençons à additionner, c’est ce qui est nécessaire pour que le Parti Québécois redevienne la force politique qu’il a été », a déclaré la candidate à la chefferie du Parti Québécois.

    Après l’appui de professeurs des HEC, de militants d’Option nationale, du Bloc Québécois, du Parti Québécois, du Parti vert, de Québec solidaire, d’anciens députés, de l’organisatrice de l’équipe Lisée, de centrales syndicales, de nombreux présidents du Parti Québécois, de travailleurs, d’étudiants, d’artistes et de bien d’autres encore, l’équipe Ouellet est heureuse d’accueillir dans ses rangs des membres de l’équipe Drainville. Il s’agit de Christian Sicotte Généreux, président de Saint-Henri-Sainte-Anne, de Kathleen Nadeau-Richard, présidente jeune de la Montérégie et de Jean-François Adam.

    « Le nombre de ses propositions, la diversité de celles-ci, la profondeur de vision et de champ dans les propositions qu’elle nous a faites jusqu’ici, sa connaissance de l’économie, sa maîtrise des dossiers les plus variés dans les affaires de l’État, sa rigueur politique et intellectuelle, sa grande indépendance d’esprit et sa ferme volonté sur toutes les questions touchant notre statut politique et notre indépendance m’amène à conclure que nous sommes sans aucun doute devant une femme en puissance, déterminée à nous libérer des contraintes politiques qui freinent notre prospérité et notre capacité à participer de plein pied aux affaires du monde. »
    − Christian Sicotte Généreux, président de Saint-Henri-Sainte-Anne et ancien membre de l’équipe Drainville

    Plus tôt cette semaine, c’était au tour d’Andréanne Villeneuve de se joindre à l’équipe Ouellet. Rappelons que la représentante jeune du Parti Québécois de Chicoutimi a joué a un rôle important pour l’organisation de Bernard Drainville en lui permettant de récolter près de 700 signatures pour officialiser sa candidature. « Depuis le début de la course, j’ai eu la chance de partager avec beaucoup de militants que cette femme de tête et de convictions serait mon choix numéro un si Bernard n’était pas dans la course. Martine est la preuve qu’une femme peut agir avec la même force et la même ambition qu’un homme en raison de son solide bagage professionnel. Ce n’est pas une troisième alternative de droite que le Québec a besoin; le Parti Québécois doit plutôt se reconnecter sur ses valeurs humaines, progressistes et il doit se rapprocher de la population », a déclaré la militante de Chicoutimi.

  • Le Parti Québécois doit redevenir le parti des travailleurs et de la classe moyenne

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    Montréal, le vendredi 24 avril 2015 – Le Parti Québécois doit redevenir celui des travailleurs et de la classe moyenne. C’est ce qu’a plaidé la candidate à la chefferie Martine Ouellet, accompagnée du directeur québécois des Métallos, Daniel Roy, de la vice-présidente pour le Québec de l’Alliance de la fonction publique du Canada (AFPC), Magali Picard, du directeur-général de la FTQ-Construction, Yves Ouellet et du coordinateur québécois de l’Association internationale des machinistes et travailleurs de l’aérospatiale (AIMTA), David Chartrand.

    « Il est possible d’être favorable aux travailleurs et au développement économique en même temps. J’appelle ça faire du développement économique intelligent. Ce n’est pas contradictoire comme certains voudraient nous le faire croire dans des discours idéologiques. Quand l’économie du Québec va bien et que les travailleurs ont leur juste part, ils consomment et font vivre les régions du Québec. C’est une roue qui tourne», estime Martine Ouellet, qui rendait publique aujourd’hui à Montréal des propositions en matière de travail.

    Une retraite décente pour tous!

    La candidate propose de doubler le taux de couverture du Régime des rentes du Québec (RRQ) et de porter le seuil maximal à 70 000 $. «C’est la pauvreté qui attend 45 % des personnes de plus de 65 ans qui n’ont pas de régime complémentaire de retraite. Le gouvernement s’est attaqué aux retraites dans le secteur municipal et maintenant il s’en prend aux autres régimes du secteur public. Mais ça ne donne pas plus de retraite à la moitié des Québécois qui compte seulement sur le RRQ. Nous serions tous gagnants à se payer collectivement des retraites décentes. La Caisse de dépôt peut faire fructifier ce pécule au Québec à moins de frais», affirme Martine Ouellet.

    Pour l’heure, le RRQ remplace 25 % d’un revenu maximal de 53 600 $. La FTQ a déjà proposé de hausser graduellement ce seuil à 50 % d’un revenu maximal de 70 000 $. «Ça offrirait une retraite décente à des futurs aînés qui ont travaillé dur, tout en étant bénéfique à l’activité économique. Et là où des régimes existent déjà, ça peut enlever une certaine pression», font valoir les syndicalistes Daniel Roy, Magali Picard, Yves Ouellet et David Chartrand.

    Ne pas laisser les jeunes derrière

    Pour l’heure, les pressions à la baisse sur les régimes de retraite défavorisent souvent les jeunes travailleurs. En effet, on voit régulièrement apparaître dans le secteur privé des régimes de retraite à deux vitesses, moins avantageux pour les nouveaux travailleurs. Le Québec, encore une fois sous un gouvernement du Parti Québécois, avait interdit en 2001 les clauses orphelins ou disparité de traitement à l’égard des nouveaux travailleurs. «Je propose qu’on complète cette loi en précisant qu’elle s’applique expressément aux régimes de retraite et aux avantages sociaux. La prospérité économique du Québec ne passe pas par le sacrifice des jeunes », estime la candidate.

    Personne ne devrait mourir au travail!

    À l’aube de la journée de deuil du 28 avril qui commémore tristement le décès au travail de 164 personnes cette année, Martine Ouellet plaide pour une implantation complète de la Loi sur la santé et la sécurité du travail, qui tarde depuis son adoption par le gouvernement de René Lévesque en 1979. «Lorsqu’il y a de la prévention, on sait que ça fait une différence, non seulement pour ce qui est des décès mais de l’ensemble des accidents. Dans la loi adoptée en 1979, la prévention jouait un rôle essentiel, il me semble normal qu’un gouvernement du Parti Québécois aille au bout de la logique », fait valoir Martine Ouellet.

    «Personne ne devrait perdre sa vie en essayant de la gagner. Trop d’accidents de travail pourraient être évités. Pour être efficace, la prévention doit impliquer les travailleurs eux-mêmes qui connaissent bien les dangers auxquels ils sont confrontés», font valoir Daniel Roy, Magali Picard, Yves Ouellet et David Chartrand.

    Loi anti-briseurs de grève

    Il est aussi plus que temps de moderniser la loi anti-briseurs de grève pour qu’elle fasse toujours ce pourquoi elle a été introduite en 1977, encore une fois sous le gouvernement de René Lévesque. «Le travail à distance n’existait pas vraiment à cette époque. Aujourd’hui, interdire le recours à des briseurs de grève seulement dans un établissement physique est un archaïsme», croit Martine Ouellet, qui propose que le Parti Québécois fasse adopter le projet de loi déposé par son collègue Guy Leclair en 2010.

    Promouvoir l’innovation et la fabrication au Québec

    Ingénieure de formation, la candidate Martine Ouellet croit par ailleurs que le Québec doit mieux soutenir des secteurs économiques à haute valeur ajoutée créateurs d’emploi en ayant une vision globale. « Comme chef d’un PQ au pouvoir, je m’engage à élaborer une politique de l’aérospatiale pour consolider et faire croître ce secteur dans la grande région métropolitaine. Il faut stimuler l’innovation et s’assurer que les emplois qui en découlent en fabrication restent aussi au Québec, qu’on maximise les retombées économiques », fait valoir Martine Ouellet.

  • Martine Ouellet est première chez les présidents de la Capitale-Nationale

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    Québec, le jeudi 23 avril 2015 – La candidate à la chefferie du Parti Québécois et députée de Vachon, Martine Ouellet, reçoit l’appui public de cinq présidents du Parti Québécois de la région de Québec. « Je suis très contente de pouvoir compter sur ce fort appui à Québec, ensemble nous allons recentrer le Parti Québécois sur l’indépendance et la social-démocratie verte. Ensemble, nous allons réaliser la deuxième révolution tranquille », a déclaré la candidate à la chefferie du Parti Québécois.

    Martine Ouellet peut maintenant compter sur l’appui public de cinq des onze présidents actifs de la Capitale-Nationale. Avec ces appuis, Martine Ouellet est maintenant en avance dans la région de Québec, suivie par Pierre-Karl Péladeau qui en compte trois et par les autres candidats, qui n’en ont aucun.

    « Le Canada est trop petit pour le Québec; ce qu’il nous faut, c’est le monde. Ces mots justes et clairs sont ceux de Martine Ouellet, une politicienne qui reconnait le plein potentiel créateur de la société québécoise. Ce qu’elle nous propose est une vision à long terme axée sur le bien commun et un développement économique intelligent. Qui peut rester insensible à un tel discours? J’offre donc tout mon appui et ma confiance à Martine Ouellet pour la construction d’un Québec moderne. »
    − Émilie Laplante, présidente de Montmorency

    « C’est par la clarté et la transparence qu’incarne Martine Ouellet que nous réussirons à retrouver la confiance des Québécois envers le Parti Québécois et même, envers leurs institutions politiques. C’est essentiel pour que le parti puisse convaincre la majorité de la population à se mobiliser pour réaliser l’indépendance du Québec. »
    Maude-Amélie Verville, présidente de La Peltrie

    « Le Parti Québécois a toujours connu ses succès quand il a été uni d’une même voix et a su exposer clairement la direction qu’il entendait prendre. Avec Martine Ouellet, les Québécois sauront exactement à quoi s’attendre, avec un programme limpide quant à l’indépendance nationale et à ses bénéfices concrets pour la population. C’est avec cette confiance retrouvée que les Québécois vont appuyer le Parti Québécois aux élections partielles dans la capitale et pour le choix du gouvernement en 2018. »
    François Aumond, président de Chauveau

     « J’appuie Martine car elle est la seule à avoir été claire et directe quant à ses intentions en matière de souveraineté, d’environnement et de développement économique. Elle est la seule à ne pas avoir changé son discours. De plus, les autres candidats ont glané à gauche et à droite des idées du programme de Martine. »
    Annie Morin, présidente de Portneuf

    « Je suis dans l’équipe de Martine Ouellet parce qu’elle représente cette force vive et déterminée dont nous avons besoin, non seulement comme chef du Parti Québécois, comme première ministre, mais surtout pour réunir tous les indépendantistes dès maintenant pour nous mettre sur la route de l’indépendance du Québec. »
    Philippe Bourque, président de Jean-Lesage

    À noter, les appuis sont faits à titre personnel.

    Photo : Annie Morin, Émilie Laplante, Martine Ouellet, Philippe Bourque et Maude-Amélie Verville.

  • Cinquante militants d’Option nationale se rangent derrière Martine Ouellet

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    Nous sommes indépendantistes. Nous avons en commun d’avoir adhéré d’une façon ou d’une autre à Option nationale, tantôt en participant à sa fondation, tantôt à titre de candidats aux élections, tantôt comme militants ou comme électeurs. Nous l’avons fait d’abord et avant tout pour une raison bien simple: nous souhaitions qu’une proposition indépendantiste positive, claire et assumée soit inscrite au débat politique québécois.

    Nous voulions donc non seulement parler des vertus de l’indépendance et des perspectives d’un Québec souverain, mais également que ce discours s’accompagne d’un engagement électoral sans équivoque. Nous pensions et pensons toujours que le pourquoi et le comment, c’est-à-dire le contenu et les moyens d’action, sont les deux côtés d’une même médaille, aussi indispensables l’un que l’autre à une démarche rassembleuse et respectueuse de l’intelligence des Québécois.

    En d’autres mots, un parti politique ne peut pas être un bon défenseur d’une idée qu’il refuse de s’engager à mettre en oeuvre. Dans cette optique, «parler d’indépendance» tout en maintenant le flou sur ses intentions – approche qui fait le bonheur de nos adversaires depuis si longtemps –, est une habitude qui doit cesser et dont il faut prendre acte des mauvais résultats.

    Nous constatons avec intérêt qu’une candidate à la direction du Parti québécois, Mme Martine Ouellet, partage cette lecture des choses et propose de donner à son parti une démarche indépendantiste sérieuse et complète, accompagnée d’un engagement clair à tenir un référendum sur l’indépendance. Elle est la seule à le faire. Finie l’ambigüité, finie la peur des mots.

    Fidèles à l’esprit fondateur d’Option nationale, qui prône la transgression des lignes partisanes lorsqu’il s’agit de travailler en faveur de l’indépendance, nous donnons avec enthousiasme notre appui à Martine Ouellet. Nous l’encourageons sans ménagement à mener sa lutte bien au-delà du strict cadre de la présente course. Si Mme Ouellet devait être élue à la tête du Parti québécois, ou si l’engagement clair qu’elle défend devait finalement prévaloir au PQ, le rassemblement indépendantiste tant souhaité deviendrait enfin possible. Nous ne demandons pas mieux.

    Il est temps de sortir du défaitisme et de toutes les décisions qu’il a engendrées ces dernières années. L’indépendance du Québec est une idée forte et populaire qui ne demande qu’à être portée par des gens de cœur et d’intelligence, des gens qui assument et qui osent. Faisons confiance à nos concitoyens, qui sauront recevoir et évaluer sereinement un message empreint de ces qualités.

    Comme le rappelait Jacques Parizeau en 2014, le Parti québécois a décidé il y a très longtemps de faire passer l’indépendance par la voie des référendums, plutôt que par un vote de l’Assemblée nationale. Le PQ a le choix: assumer enfin un engagement référendaire clair et mettre derrière lui les sempiternelles questions à ce sujet, ou continuer de focaliser toute l’attention sur le référendum par son éternelle valse-hésitation à cet égard. Il ne s’agit pas de brandir des dates et des calendriers, mais bien plus simplement de dire «oui, nous allons agir». Rien de plus, rien de moins.

    Nous encourageons tous ceux qui souhaitent comme nous remettre le Québec en marche vers son indépendance dès maintenant – et non pas après lecture des sondages en 2018 — à prendre leur carte du Parti québécois avant le 15 avril et à consacrer quelques minutes d’attention aux propositions de Martine Ouellet. S’ils le font, nous parions qu’ils voteront pour elle.

    Nic Payne militant, candidat, ex-président

    Audrey Perreault militante

    Jennifer Beaudry militante, candidate

    Mathieu Thomas militant

    Ghislain Taschereau membre

    Hélène Mercier-Brulotte militante

    Julien Longchamp militant, candidat

    David Guillemette militant, ex-conseiller

    Jocelyn Desjardins membre

    Éric D’Alo Président, Laurier-Dorion

    Marie-Claude Brouillet militante

    Pierre-Olivier Rathé président, Rousseau

    Martin Paquette militant, conseiller

    Sabrina Gagnon-Rochette membre

    André Queenton militant

    Renaud Guénette militant

    Annie Carrier ex-présidente, Granby

    Iouri Fournier sympathisant

    Félix-Antoine L.-Levasseur membre

    Évelyne Beaudin candidate, ex-membre du conseil national

    Patrick Beaulieu militant 

    Pierre-Olivier Fraser militant

    Ève Boucher-Limoges membre

    Pierre-Olivier Langevin membre

    Marthe Lapierre présidente, Granby

    Mathias Doré-Ouellet militant

    Étienne Boivin organisateur

    Micheline Poirier sympathisante

    Yann Labrie candidat

    Bruno Forget candidat

    Manon Senneville membre

    Samuel Pépin membre

    Bernard Paré candidat

    Julie Nadon ex-conseillère

    Mathieu L. Bouchard conseiller

    Jean-Philippe Jodoin trésorier, Laurier-Dorion

    Katheuryne Grefford membre

    Philippe Bourque ex-conseiller

    Frédérick DeRoy candidat

    Mylène Rousseau membre

    François Barthe militant

    Patrick R. Bourgeois candidat, ex-membre du conseil national

    Daniel Bergeron membre

    Benjamin Michaud candidat

    Nino Gabrielli membre

    Eid Harb candidat

    Luc bertrand militant

    Carl St-Denis membre

    Mathieu Lebel membre, ex-conseiller

    Carl Boileau membre

    Christian Strasbourg membre

    Vanessa Roy candidate, présidente commission santé

    Pierre-Luc Turcotte membre

    Marc-André Perreault membre

    Julien Dubreuil-Théberge membre

    Samuel Bergeron candidat

    Robert Langevin membre

    Mathieu Lapointe membre

  • François Avard, auteur : Pourquoi j’appuie Martine Ouellet

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    J’ai appuyé Martine Ouellet après avoir pris connaissance de son programme. Si, comme moi, vous jetez un coup d’oeil à ses idées, à ses projets, vous l’appuierez aussi.

    Dans mon travail d’auteur, je côtoie au quotidien des artistes, des gens d’idées, déterminés, sûrs d’eux et rigoureux. En Martine, j’ai retrouvé ces qualités.

    Connaître Martine Ouellet, c’est avoir envie de faire la route à ses côtés. Elle sait quel est l’itinéraire le plus court — qui n’est pas le plus facile — et elle a l’énergie pour nous conduire à destination: un pays.

    Ah, pis d’la marde. J’me lâche. Je vais dire les choses simplement: chus plutôt écoeuré du vide ambiant, du mou partout, des mensonges, des paroles creuses, de la politique politicienne insignifiante, des journaleux intéressés, des décisions qui sentent la merde, de cette dictature du crétinisme, des protestations bidons, de la bêtise et de la manipulation, des trahisons révélées avec le sourire, des vire-capots insolents, des profiteurs puants, de l’image préfab des imposteurs patentés, de l’assassinat de l’intelligence, de l’impunité des privilégiés, du mépris du contribuable, du mépris de l’électeur, du mépris des hommes et des femmes qui travaillent comme des singes, de la déconsidération affligeante de mon vote.

    Vous l’aurez compris, chus assez décrissé de la politique.

    Et malgré tout ça, y a Martine, tibout de femme énergique, droite et forte, qui donne encore envie d’y croire.