• Réussir le rassemblement de l’après-course

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    Montréal, le dimanche 4 septembre 2016 – Martine Ouellet, candidate à la chefferie du Parti Québécois et députée de Vachon, croit que le rassemblement de l’après-course, tant du côté des députés, des membres du parti ou de la population, s’articulera autour d’une volonté renouvelée de contribuer à notre objectif commun, l’indépendance du Québec. En effet, c’est en favorisant un fonctionnement où l’expertise et l’expérience de tous seront mises à contribution qu’elle entend y arriver. « Pour réussir, nous devrons compter sur tout le savoir-faire auquel nous avons accès. C’est essentiel. Nous avons la chance de pouvoir compter sur des talents d’exception, tant au sein du caucus du Parti Québécois que du rassemblement des indépendantistes », a déclaré la candidate.

    Un leadership rassembleur

    Une fois élue chef du Parti Québécois, Martine Ouellet s’engage à tenir un caucus extraordinaire de trois jours, dans les jours suivants son élection, afin de consulter ses collègues et de ramener l’indépendance au menu des priorités de la session parlementaire : « Je veux entendre toutes les suggestions et toutes les préoccupations de mes collègues afin que l’on construise sur des bases solides. Il faudra également discuter des orientations et des positions que nous prendrons au Salon Bleu, exercice essentiel pour atteindre notre objectif indépendantiste. Trois jours ça ne sera pas de trop ! »

    Une équipe du tonnerre

    Martine Ouellet misera sur l’apport significatif que ses collègues élus peuvent amener. Déjà, elle entrevoit des scénarios pour ses troupes. « Je pense à Jean-François Lisée et à son grand talent pour débattre. Il serait un excellent leader en chambre et ne ferait qu’une bouchée du fédéraliste Jean-Marc Fournier ! Véronique Hivon, mère de Mourir dans la dignité et juriste accomplie pourrait diriger la rédaction du premier Code criminel québécois afin que celui-ci soit empreint de la même compassion éclairée que la Loi sur l’aide médicale à mourir. Je pense à Stéphane Bergeron qui fait un excellent travail en tant que whip et à Alexandre Cloutier, le constitutionnaliste, qui pourrait diriger les consultations sur la Constitution initiale et le Livre vert sur le projet de pays du Québec. Me viennent aussi en tête André Villeneuve et son expertise avec les municipalités et les instances régionales, Pascal Bérubé pour sa fine analyse politique et ses idées pour le développement stratégique des régions. Sylvain Pagé, auteur du Manifeste pour une nouvelle culture politique, pourrait être la personne toute désignée pour contribuer à moderniser l’exercice de notre démocratie et Carole Poirier, s’impose naturellement comme celle avec qui je travaillerai au sujet de la Condition féminine, particulièrement en ce qui a trait aux conditions de vie des femmes autochtones. Mathieu Traversy pour son grand talent d’organisateur et de réseautage avec les groupes de la société civile. Mireille Jean pour sa connaissance des PME et de l’innovation. Je pense également à tous mes autres collègues et à leurs forces qui, mises ensemble, nous permettront de battre le PLQ en 2018 et de réaliser l’indépendance du Québec. Sans oublier Paul St-Pierre Plamondon, le futur député et générateur d’idées, que j’ai bien hâte de consulter afin qu’il nous prête main-forte avec sa créativité », a déclaré Martine Ouellet.

    Miser sur les instances du Parti Québécois

    La candidate promet aussi une réforme des statuts du parti : un Congrès aux deux ans plutôt qu’aux six ans et quatre Conseils nationaux par année plutôt que deux, avec des colloques et des prises de position en vue de préparer les Congrès.

    « Je suis convaincue que c’est en redonnant à nos membres la place qui leur revient que le PQ retrouvera son efficacité et reconnectera beaucoup plus facilement avec la population. Nous devons aussi redonner aux assemblées générales annuelles leur véritable rôle : être le lieu d’imagination du Québec de demain. Redonnons à notre parti l’élan qui en a fait le porteur du Québec souhaité par les Québécois. Remettons les instances du Parti Québécois au travail pour bénéficier de cet immense potentiel », a affirmé la candidate.

    Mettre à contribution le peuple

    Dans le Plan Ouellet 2018 : Pour la victoire des indépendantistes et le Plan 2018-2022 pour la République du Québec déposés par l’équipe Ouellet, il est prévu, en plus de la réalisation de la convergence des partis et mouvements indépendantistes, que le peuple soit également amené à jouer un rôle clé. Que ce soit au niveau des consultations de la Commission préconstituante ou de l’alimentation des débats entourant le référendum portant sur la constitution initiale et l’indépendance, tout sera mis en œuvre pour que les idées puissent jaillir. « Nous devons absolument recommencer à travailler avec l’ensemble des Québécois en mettant en place des mécanismes de démocratisation active. Les Québécois souhaitent participer à l’élaboration des solutions. L’avènement du Québec pays passera par un grand chantier d’idées. Ce sera le plus grand exercice de démocratie participative de l’histoire du Québec », a affirmé la candidate.

    C’est une approche d’ouverture, rassembleuse et démocrate, que la députée de Vachon veut instaurer. « Le Parti Québécois doit redevenir le parti du changement, le parti de l’avant-garde et le parti de tous les Québécois. C’est une étape incontournable pour arriver à ce Québec nouveau et pour réaliser l’indépendance du Québec », a conclu Martine Ouellet.

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