• Cinquante militants d’Option nationale se rangent derrière Martine Ouellet

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    Nous sommes indépendantistes. Nous avons en commun d’avoir adhéré d’une façon ou d’une autre à Option nationale, tantôt en participant à sa fondation, tantôt à titre de candidats aux élections, tantôt comme militants ou comme électeurs. Nous l’avons fait d’abord et avant tout pour une raison bien simple: nous souhaitions qu’une proposition indépendantiste positive, claire et assumée soit inscrite au débat politique québécois.

    Nous voulions donc non seulement parler des vertus de l’indépendance et des perspectives d’un Québec souverain, mais également que ce discours s’accompagne d’un engagement électoral sans équivoque. Nous pensions et pensons toujours que le pourquoi et le comment, c’est-à-dire le contenu et les moyens d’action, sont les deux côtés d’une même médaille, aussi indispensables l’un que l’autre à une démarche rassembleuse et respectueuse de l’intelligence des Québécois.

    En d’autres mots, un parti politique ne peut pas être un bon défenseur d’une idée qu’il refuse de s’engager à mettre en oeuvre. Dans cette optique, «parler d’indépendance» tout en maintenant le flou sur ses intentions – approche qui fait le bonheur de nos adversaires depuis si longtemps –, est une habitude qui doit cesser et dont il faut prendre acte des mauvais résultats.

    Nous constatons avec intérêt qu’une candidate à la direction du Parti québécois, Mme Martine Ouellet, partage cette lecture des choses et propose de donner à son parti une démarche indépendantiste sérieuse et complète, accompagnée d’un engagement clair à tenir un référendum sur l’indépendance. Elle est la seule à le faire. Finie l’ambigüité, finie la peur des mots.

    Fidèles à l’esprit fondateur d’Option nationale, qui prône la transgression des lignes partisanes lorsqu’il s’agit de travailler en faveur de l’indépendance, nous donnons avec enthousiasme notre appui à Martine Ouellet. Nous l’encourageons sans ménagement à mener sa lutte bien au-delà du strict cadre de la présente course. Si Mme Ouellet devait être élue à la tête du Parti québécois, ou si l’engagement clair qu’elle défend devait finalement prévaloir au PQ, le rassemblement indépendantiste tant souhaité deviendrait enfin possible. Nous ne demandons pas mieux.

    Il est temps de sortir du défaitisme et de toutes les décisions qu’il a engendrées ces dernières années. L’indépendance du Québec est une idée forte et populaire qui ne demande qu’à être portée par des gens de cœur et d’intelligence, des gens qui assument et qui osent. Faisons confiance à nos concitoyens, qui sauront recevoir et évaluer sereinement un message empreint de ces qualités.

    Comme le rappelait Jacques Parizeau en 2014, le Parti québécois a décidé il y a très longtemps de faire passer l’indépendance par la voie des référendums, plutôt que par un vote de l’Assemblée nationale. Le PQ a le choix: assumer enfin un engagement référendaire clair et mettre derrière lui les sempiternelles questions à ce sujet, ou continuer de focaliser toute l’attention sur le référendum par son éternelle valse-hésitation à cet égard. Il ne s’agit pas de brandir des dates et des calendriers, mais bien plus simplement de dire «oui, nous allons agir». Rien de plus, rien de moins.

    Nous encourageons tous ceux qui souhaitent comme nous remettre le Québec en marche vers son indépendance dès maintenant – et non pas après lecture des sondages en 2018 — à prendre leur carte du Parti québécois avant le 15 avril et à consacrer quelques minutes d’attention aux propositions de Martine Ouellet. S’ils le font, nous parions qu’ils voteront pour elle.

    Nic Payne militant, candidat, ex-président

    Audrey Perreault militante

    Jennifer Beaudry militante, candidate

    Mathieu Thomas militant

    Ghislain Taschereau membre

    Hélène Mercier-Brulotte militante

    Julien Longchamp militant, candidat

    David Guillemette militant, ex-conseiller

    Jocelyn Desjardins membre

    Éric D’Alo Président, Laurier-Dorion

    Marie-Claude Brouillet militante

    Pierre-Olivier Rathé président, Rousseau

    Martin Paquette militant, conseiller

    Sabrina Gagnon-Rochette membre

    André Queenton militant

    Renaud Guénette militant

    Annie Carrier ex-présidente, Granby

    Iouri Fournier sympathisant

    Félix-Antoine L.-Levasseur membre

    Évelyne Beaudin candidate, ex-membre du conseil national

    Patrick Beaulieu militant 

    Pierre-Olivier Fraser militant

    Ève Boucher-Limoges membre

    Pierre-Olivier Langevin membre

    Marthe Lapierre présidente, Granby

    Mathias Doré-Ouellet militant

    Étienne Boivin organisateur

    Micheline Poirier sympathisante

    Yann Labrie candidat

    Bruno Forget candidat

    Manon Senneville membre

    Samuel Pépin membre

    Bernard Paré candidat

    Julie Nadon ex-conseillère

    Mathieu L. Bouchard conseiller

    Jean-Philippe Jodoin trésorier, Laurier-Dorion

    Katheuryne Grefford membre

    Philippe Bourque ex-conseiller

    Frédérick DeRoy candidat

    Mylène Rousseau membre

    François Barthe militant

    Patrick R. Bourgeois candidat, ex-membre du conseil national

    Daniel Bergeron membre

    Benjamin Michaud candidat

    Nino Gabrielli membre

    Eid Harb candidat

    Luc bertrand militant

    Carl St-Denis membre

    Mathieu Lebel membre, ex-conseiller

    Carl Boileau membre

    Christian Strasbourg membre

    Vanessa Roy candidate, présidente commission santé

    Pierre-Luc Turcotte membre

    Marc-André Perreault membre

    Julien Dubreuil-Théberge membre

    Samuel Bergeron candidat

    Robert Langevin membre

    Mathieu Lapointe membre

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