Un clic pour l’école publique !
Je vous invite à signer la pétition : Priorité à l’école publique initiée par Alain Riendeau, commissaire scolaire à Saint-Hubert.
Cette pétition demande au gouvernement de :
▶ Cesser les coupes en éducation
▶ Faire de l’éducation une priorité nationale, avec les investissements nécessaires.
Merci de prendre quelques minutes pour l’avenir de nos enfants.
La pétition est disponible sur le site de l’Assemblée nationale du Québec :
https://www.assnat.qc.ca/fr/exprimez-votre-opinion/petition/Petition-5677/index.html
Les députés du Parti Québécois marchent aux côtés des organismes communautaires
« Nous joignons nos voix à celle du milieu communautaire pour dénoncer une fois de plus les mesures d’austérité libérales qui touchent particulièrement les plus vulnérables de nos concitoyens. Depuis l’arrivée de ce gouvernement, les médecins ont eu droit au retour de la prime Bolduc, à la facturation de frais accessoires, et même à des augmentations de rémunération de 148,5 millions de dollars, selon le récent rapport de la vérificatrice générale. Mais les organismes communautaires, eux, ont vu leur budget stagner et, en parallèle, le nombre de personnes victimes de l’austérité qui cognent à leur porte continue d’augmenter. Le gouvernement doit reconnaître leur apport et cesser de se décharger sur eux sans joindre les moyens nécessaires », a déclaré Jean-François Lisée.
« Les organismes communautaires sont ceux qui soutiennent et qui accompagnent les personnes vulnérables sur le terrain. Ils sont confrontés au quotidien à tous les impacts qu’ont les compressions libérales, et il est surréaliste de leur demander de répondre à la demande croissante avec des budgets indexés d’à peine 1 %. En Montérégie comme à Montréal, en Mauricie et au Centre-du-Québec, les besoins sont criants et le gouvernement doit cesser ses mesures d’austérité. Nous marchons aux côtés des acteurs du milieu, aujourd’hui, pour que le financement des organismes communautaires soit rehaussé, comme les députés libéraux l’ont eux-mêmes réclamé en mai 2013 en votant unanimement en faveur d’une motion en ce sens. Le premier ministre doit enfin respecter sa parole et protéger les plus vulnérables, comme il s’y était engagé lors de son discours d’ouverture », a conclu Martine Ouellet.
Des coupes qui font mal – Longueuil, bilan de session parlementaire
Longueuil, le lundi 14 décembre 2015 – C’est à la Maison des citoyens que Martine Ouellet, députée de Vachon et porte‑parole du Parti Québécois en matière de transports, d’électrification des transports, de stratégie maritime et de télécommunications, Diane Lamarre, députée de Taillon et porte-parole en matière de santé et d’accessibilité aux soins, et Bernard Drainville, député de Marie-Victorin, leader parlementaire et porte-parole pour la Loi électorale et en matière d’accès à l’information, d’éthique et d’intégrité, ont fait connaître leur bilan de session parlementaire. À cette occasion, les trois députés de Longueuil se sont entendus sur l’incompétence, l’injustice et l’incohérence dont les libéraux ont fait preuve cet automne.
Nos enfants en paient le prix
« Avec le dogmatisme qu’on lui connaît, le PLQ a coupé 120 M$ aux centres de la petite enfance (CPE), ce lieu modèle de développement pour nos tout-petits. À ce moment-ci, c’est la survie du réseau des CPE et les emplois de milliers d’éducatrices qui sont menacés. Même si les libéraux avaient promis d’investir en éducation, une fois au pouvoir, ils ont coupé les services aux élèves et fragilisé notre système d’éducation publique. Mes collègues et moi-même avons d’ailleurs participé, avec les parents, aux chaînes humaines devant nos écoles avec le mouvement Je protège mon école publique, que ce soit l’école D’Iberville de Saint-Hubert, l’école Gentilly ou encore l’école Armand-Racicot de Longueuil. D’ailleurs, j’invite tous les citoyens à signer la pétition qu’un commissaire scolaire de Saint-Hubert a déposée et que je parraine pour faire de l’école publique une véritable priorité nationale, disponible sur le site Internet de l’Assemblée nationale », a déclaré Martine Ouellet.
Cet automne, j’ai aussi eu l’occasion de faire une tournée sur les dangers du transport de pétrole par train pour exportation, et particulièrement sur le projet Chaleur Terminals. Je suis allée à la rencontre des citoyens et des élus municipaux des communautés qui seraient touchées. S’il voit le jour, 240 wagons-citernes traverseraient chaque jour des municipalités telles que Saint-Lambert, Longueuil, Saint-Bruno et Mont-Saint-Hilaire, et celles tout au long de la voie ferrée du CN jusqu’à Belledune au Nouveau-Brunswick. J’y ai rencontré plusieurs élus municipaux et groupes de citoyens et, résultat de cette grande mobilisation, l’UMQ et plusieurs MRC et municipalités ont adopté une résolution demandant au gouvernement d’annoncer un BAPE sur Chaleur Terminals! Parlant de grande mobilisation, je félicite tous les citoyens, les élus et les organismes qui se sont regroupés pour empêcher le péage sur le futur pont Champlain, c’est une victoire pour toute la région métropolitaine et un exemple de réussite pour tous ceux qui se mobilisent pour changer les choses! », a ajouté la députée.
Questionner le gouvernement et questionner ses réels intérêts
« Tout au long de la session parlementaire, j’ai cherché à obtenir le meilleur pour la population. J’ai posé des questions claires au ministre Barrette. Il a refusé de répondre, confondant son ancien rôle de président de la FMSQ avec celui de ministre de la Santé et des Services sociaux, responsable d’un budget qui appartient aux Québécois! J’ai dénoncé l’instauration d’une surcharge aux patients pour des frais accessoires, car il s’agit d’une façon détournée de faire payer les patients une deuxième fois pour des services de santé qu’ils paient déjà; une forme évidente d’une privatisation en douce compromettant les principes d’un système de santé universel et accessible à tous. J’ai déposé une pétition de plus de 10 500 noms à l’Assemblée nationale contre ces frais, une pétition qui témoigne que, contrairement aux dires du ministre, les citoyens du Québec n’acceptent pas cette décision unilatérale qu’il a imposée sans débat public. Le projet de loi 20, désormais adopté, a aussi désassuré l’accès et en quelque sorte privatisé la fécondation in vitro (FIV). L’équivalent d’un enfant par classe (1/32) est né grâce à la FIV. Bien que nous ayons réussi à gagner quelques amendements en commission parlementaire, le ministre a mis tellement d’obstacles que le projet parental devient inaccessible pour la plupart des couples infertiles. J’ai dénoncé à maintes reprises, tout comme la vérificatrice générale du Québec, le surplus de rémunération de près de un milliard de dollars versé aux médecins, alors que le réseau de la santé et des services sociaux subit des coupes de 450 M$ », a pour sa part indiqué Diane Lamarre.
Pendant ce temps, à Longueuil, 10 000 personnes par mois doivent recourir à des banques alimentaires. En matière de santé, l’état de la situation des guichets d’accès pour la clientèle sans médecin de famille reste problématique dans la région. Le nombre de patients inscrits à ces guichets d’accès a grimpé de 60 % en seulement 10 mois. Au total, plus de 73 575 personnes étaient inscrites sur la liste au 23 janvier 2015, elles étaient 45 849 au 31 mars 2014. Ce gouvernement a une approche idéologique; en plus de l’absence de résultats sur le plan économique, il coupe dans les acquis sociaux », a‑t‑elle ajouté.
Des gestes d’intégrité pour redonner confiance aux Québécois
Pour sa part, le député de Marie-Victorin et leader parlementaire de l’opposition officielle, Bernard Drainville, a mis l’accent sur trois éléments importants liés à ses fonctions parlementaires : 1. l’adoption du projet de loi visant à mettre un terme aux primes de départ des députés qui quittent en cours de mandat, sans que ce soit pour des raisons de santé ou familiales; 2. la fin des applaudissements à la période de questions, afin d’assainir l’ambiance au Salon bleu, et; 3. faire la lumière sur la commission Charbonneau, notamment en demandant à M. Renaud Lachance et à Mme France Charbonneau de venir s’expliquer publiquement, en commission parlementaire.
« Les Québécois ont soif d’intégrité et d’éthique. Je m’en rends compte en discutant avec les gens de Longueuil; ils veulent la vérité. Ils veulent comprendre pourquoi les libéraux s’en tirent à si bon compte dans le rapport de la commission Charbonneau. Pourquoi avoir protégé les grosses gommes du Parti libéral, Marc Bibeau et compagnie? Quarante‑cinq millions plus tard, est-ce que la commission Charbonneau a servi à blanchir le PLQ? C’est pour ça que nous demandons que M. Lachance et Mme Charbonneau viennent s’expliquer sur les conclusions de la commission d’enquête. C’est pour la même raison que je me réjouis de la fin des primes de départ en cours de mandat. C’est une belle victoire! Une belle victoire pour les citoyens, pour les Québécois et pour notre démocratie! La loi qui a été adoptée, c’est le projet de loi que j’avais moi-même déposé, à part un élément. J’avoue que j’en suis particulièrement fier. Ça aura pris du temps, mais on a fini par gagner cette bataille-là. C’est encore une fois la preuve qu’il ne faut jamais lâcher. Merci à tous les citoyens qui nous ont appuyés », a déclaré Bernard Drainville.
Par ailleurs, on continue la bataille pour sauver le financement des 16 projets de lutte contre la pauvreté à Longueuil. « Diane, Martine et moi, les trois députés de Longueuil, on a rencontré la Corporation de développement communautaire (CDC) de Longueuil afin de trouver un moyen de poursuivre ces projets qui aident vraiment notre monde et notre communauté. Rien n’est encore joué mais, pour en avoir discuté avec le ministre Sam Hamad, il n’a pas démontré une grande ouverture. D’ailleurs, ce gouvernement n’a pas la réputation d’être particulièrement réceptif aux demandes des organismes communautaires », rappelle Bernard Drainville. « On a l’impression d’un gouvernement froid qui nous regarde de haut ».
« Nous sommes face à un gouvernement qui va chercher 1500 $ de plus dans la poche des familles, qui s’attaque au principe de l’égalité des chances, qui coupe dans les services aux élèves et démantèle les CPE, qui coupe en santé et privatise nos soins en douce, et qui veut obliger les assistés sociaux à déménager. Nous sommes face à un gouvernement qui n’écoute pas la population. C’est ce même gouvernement libéral qui, de l’autre côté, verse 800 M$ en trop aux médecins spécialistes. C’est l’austérité partout au Québec, sauf pour les collègues médecins du premier ministre et de son ministre de la Santé. C’est inacceptable. Les Québécoises et les Québécois sont indignés et ils ont raison. Le Québec mérite mieux qu’un gouvernement insensible, entêté, incohérent et incompétent », ont conclu les députés du Parti Québécois.

Qu’a fait le gouvernement Couillard en transport collectif ?
Québec, le 10 décembre 2015 – La députée de Vachon et porte-parole du Parti Québécois en matière de transports, de stratégie maritime et d’électrification des transports, Martine Ouellet, est très surprise d’entendre le premier ministre, à la Conférence de Paris, demander au gouvernement fédéral d’en faire plus en transport collectif.
« C’est bien que M. Couillard presse le gouvernement fédéral de faire sa part en matière de transport collectif, mais que fait le gouvernement du Québec? Actuellement, près de 500 millions de dollars provenant du Fonds vert et dédiés aux transports collectifs dorment dans les coffres du gouvernement du Québec. Pendant ce temps et depuis l’arrivée au pouvoir du Parti libéral du Québec, tous les projets majeurs de transport collectif sont sur la glace; pensons au prolongement de la ligne bleue du métro de Montréal, au service rapide par bus Québec‑Lévis et à celui sur Pie-IX, au système léger sur rail sur le nouveau pont Champlain, à l’électrification de l’axe Saint-Michel, et j’en passe. Le gouvernement Couillard a l’un des pires bilans en matière de transport collectif; je ne vois pas à qui il peut faire des leçons », a déclaré Martine Ouellet.
Par ailleurs, hier, nous apprenions que des projets immobiliers étaient en planification autour des gares de l’éventuel système léger sur rail qui serait aménagé sur le nouveau pont Champlain, et ce, alors que la décision du gouvernement du Québec et de la Caisse de dépôt et placement sur la réalisation du projet ne sera pas prise avant plus d’un an encore.
« Le gouvernement Marois avait tranché en choisissant le système léger sur rail comme mode de transport collectif sur le nouveau pont Champlain. Il avait même lancé le bureau de projet. Un autre dossier qui a du plomb dans l’aile depuis l’arrivée du Parti libéral du Québec au pouvoir. Les citoyens de la Rive-Sud ne peuvent que rêver du projet, désormais. Ça fait plus d’une décennie qu’on l’étudie et le gouvernement ne cesse d’allonger les délais en commandant d’autres études », a conclu Martine Ouellet.
Martine Ouellet souligne la Journée internationale des bénévoles
Demain, le 5 décembre, ce sera la trentième édition de la Journée internationale des bénévoles, une occasion pour nous de leur démontrer toute notre reconnaissance.
À Saint-Hubert, nous avons la chance d’avoir plusieurs centaines de bénévoles qui animent et organisent la vie communautaire. Grâce à eux, les Hubertins peuvent profiter de plusieurs services, que ce soit pour les aînés avec les popotes roulantes, le transport-médical, les visites d’amitié, pour nos familles avec l’aide alimentaire, les cliniques d’impôts, la friperie, pour nos tout petits, avec l’aide à la lecture, l’aide aux devoirs, la joujouthèque, pour le sport, avec les clubs de soccer, de baseball, de natation, de judo, de football, pour l’art, avec les clubs de photographie, de peinture, de vitrail, de sculpture … pour ne nommer que ceux-ci !
Le bénévolat à Saint-Hubert c’est plus de 200 organismes et plusieurs centaines de bénévoles qui accomplissent un travail immense et essentiel à notre communauté. Alors je veux vous dire : MERCI ! Merci à vous tous pour votre dévouement! Vous faites toute une différence! Saint-Hubert à besoin de vous !
Des projets qui doivent être soutenus afin de réduire la pauvreté à Longueuil
Québec, le 3 décembre 2015 – À l’Assemblée nationale, cet après-midi, les députés de Longueuil, Bernard Drainville, Diane Lamarre et Martine Ouellet, le directeur général de la Corporation de Développement Communautaire de l’agglomération de Longueuil (CDC), Martin Boire, Antoine Perreault, du projet « Cultiver nos savoirs » ainsi que Dave Turcotte, porte-parole de l’opposition officielle en matière de lutte à la pauvreté et de solidarité, se sont rencontrés pour faire le point sur la situation des seize projets de lutte à la pauvreté qui se terminent le 31 décembre prochain. L’objectif de la réunion était de coordonner les actions pour préserver ces seize projets. Dans un premier temps, il a été convenu que le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale sera interpelé puisque c’est son ministère qui a permis le développement de ces projets.
« Sachant que le nouveau plan d’action gouvernemental pour la solidarité et l’inclusion sociale ne sera pas en vigueur avant 2017, il n’y a pas de raison pour que le ministre Sam Hamad refuse de travailler avec nous afin de trouver une solution pour assurer la poursuite de ces projets pour les deux prochaines années. Si le ministre a réellement à cœur la lutte à la pauvreté, nous lui tendons la main pour trouver une façon de sauver ces projets. Nous sommes très inquiets de voir disparaître des initiatives structurantes qui ont un impact direct sur la qualité de vie de nos concitoyens. Les services offerts par ces projets sont directement en lien avec les besoins des résidents de Longueuil », soutient Bernard Drainville.
C’est pourquoi le directeur général de la CDC de l’agglomération de Longueuil est allé déposer plus de 700 lettres d’appui au cabinet du ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale. « Ce sont des milliers de citoyennes et citoyens qui ont été touchés dans le cadre de ces projets. Ce sont des dizaines d’intervenants et d’acteurs communautaires qui ont eu les moyens de développer des milieux de vie stimulants et d’œuvrer afin de briser l’isolement et l’exclusion sociale. Nous avons maintenant une responsabilité collective de pérenniser ces projets qui ont démontré toute la portée de leur impact social ces deux dernières années », souligne Martin Boire.
« Pour Saint-Hubert, c’est le projet Passerelle qui est en péril. Cette initiative du Regroupement Anti-Pauvreté vise à engager une intervenante qui facilitera l’intégration au marché du travail des citoyens sur l’aide sociale. Est-ce que le ministre du Travail veut vraiment mettre en danger Passerelle, lui qui prétend vouloir inciter les citoyens à trouver un emploi ? », ajoute Martine Ouellet.
« J’ai vu dans la circonscription de Taillon, l’impact positif de projets comme « Cultiver nos savoirs » « Notre quartier, notre demeure » « Jardiner pour mieux manger » sur les jeunes, sur leur persévérance scolaire, sur leur confiance en eux et en l’avenir. L’abolition de ces projets est un mauvais calcul. Le démarrage d’un projet nécessite tellement d’énergie et d’investissement, or, c’est justement au moment où toutes ces initiatives atteignent leur rythme de fonctionnement et démontrent un impact positif pour les élèves, les familles, les Québécois d’adoption, que le gouvernement libéral décide de les supprimer. Pour vaincre la spirale de la pauvreté, il faut plus que des projets de quelques mois, il faut persévérer. C’est le devoir de l’État de contribuer à la santé, à la qualité de vie et à l’égalité des chances des citoyens les plus vulnérables. C’est par l’égalité des chances que nous améliorerons la dignité de chacun et le développement de tous. Merci aux intervenants scolaires et sociaux qui se sont dépassés pour ces projets auxquels ils ont cru avec raison. », a déclaré Diane Lamarre, députée de Taillon.
« On constate une augmentation des jeunes, des familles et des aînés qui ont besoin d’aide. En contrepartie, les organismes ont de moins en moins de ressources pour les accompagner. Le refus du gouvernement de rehausser le financement des organismes communautaires contraint ceux-ci à rationner leurs services et nuit au soutien offert à des milliers de personnes vulnérables. En tant que porte-parole de l’opposition officielle en matière de lutte à la pauvreté et de solidarité, il est primordial d’interpeller le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Solidarité sociale pour que son ministère préserve ces seize projets. Le gouvernement doit s’asseoir avec les organismes et reconnaître, enfin, tout le précieux travail qu’ils réalisent quotidiennement et le filet social qu’ils représentent. », de conclure le député Dave Turcotte.
Pétition des citoyens du parc de maisons mobiles Modlivco Inc
La députée Martine Ouellet dépose la pétition des citoyens du parc de maisons mobiles Modlivco Inc à Saint-Hubert.
Merci à la Grande Guignolée des Médias de la Rive-Sud !
Je tiens à souligner l’apport exceptionnel que fait la Grande Guignolée des Médias de la Rive-Sud dans notre communauté. Que ce soit par les paniers de Noël ou encore le service de dépannage alimentaire, pour beaucoup de nos concitoyens, ça fait toute la différence. Seulement l’an dernier, c’est une valeur totale de plus de 520 000$ en dons qui ont été distribués à environ 95 000 personnes dont 40 000 enfants sur le territoire du Grand Longueuil.
Derrière ces chiffres, il y a tout le travail de près de 1000 bénévoles qui font en sorte que cet événement soit un véritable succès. Merci aussi aux médias qui donnent beaucoup d’espace médiatique à l’événement, ça fait toute la différence!
Je tiens à remercier particulièrement Monsieur Jean-Marie Girard, président de l’organisme ainsi que les trois responsables du secteur de Saint-Hubert : Jean-Marc Houle, Héléna Guimond et Denise Brouillette qui font un excellent travail.
Pour cette année, je suis très fière d’offrir un point de cueillette, parmi les six de Saint-Hubert, à la Maison des citoyens. Le succès de l’événement ne repose maintenant que sur notre générosité!
Airbnb, Uber et compagnie : les effets bénéfiques et pervers de l’économie du « partage »
La série de débats publics « Le Devoir de débattre » est organisée par Le Devoir et permet de faire écho aux sujets débattus dans la section Idées du quotidien. Échanges passionnants garantis!
Cette nouvelle forme d’économie est-elle une innovation ou simplement une façon de contourner les règles?
Avec :
– Michelle Blanc, consultante en marketing internet
– Guillaume Blum, Professeur adjoint à l’École de design de l’Université Laval
– Ianik Marcil, économiste
– Martine Ouellet, députée péquiste dans Vachon
Animateur : Antoine Robitaille, éditorialiste du Devoir
Le débat a eu lieu le 21 octobre 2015 à Québec et il est diffusé sur les ondes du Canal Savoir.
Cliniques d’infirmières 24/7 dans les CLSC
Saint-Hubert, le 30 novembre 2015 – La présidente du comité exécutif du Parti Québécois de Vachon, Francine Trudeau, accompagnée de la députée de Vachon, Martine Ouellet, ont tenu à revenir sur quelques points marquants du Conseil national des présidents et présidentes du Parti Québécois qui s’est déroulé à Sherbrooke les 21 et 22 novembre derniers.
Il est proposé que le Conseil National demande à l’aile parlementaire du Parti Québécois de faire pression sur le gouvernement libéral afin qu’il finance adéquatement la clinique SABSA de Québec, et qu’il instaure des cliniques d’infirmières dans tous les CLSC du Québec, ouvertes 24/7, avec plus d’autonomie et un financement autonome. – Parti Québécois de Vachon
« Nous avons déjà une structure établie avec les CLSC qui ont plus de 276 points de services dans toutes les régions du Québec. Fort du succès de la clinique SABSA, la mise en place de cliniques, dans le réseau des CLSC, basées principalement sur l’expertise infirmière est une stratégie novatrice qui permettrait d’assurer à la population des soins et des services accessibles, efficients et de qualité. Les infirmières et infirmiers ont la capacité et la compétence dans les soins de première ligne et devraient être partie prenante de la solution du désengorgement des urgences », a fait valoir Francine Trudeau.
Fort appui à la fonction publique
Les délégués du Parti Québécois ont aussi adopté un appui au Front commun, présentement en négociation avec le gouvernement libéral : Il est proposé que le conseil national appuie les revendications du Front commun contre l’austérité libérale, contre les coupes de services à la population, pour l’appauvrissement zéro et un rattrapage des salariés du secteur public québécois et pour un règlement négocié.
« En ce moment, ce que les libéraux font, c’est de couper les salaires des employés de la fonction publique, ils les appauvrissent en ne promettant une hausse que de 3% sur 5 ans, alors que ça ne couvre même pas la moitié de l’augmentation du coût de la vie. Ce qu’on a dit en fin de semaine passée aux enseignantes, aux infirmières, aux préposés, aux techniciens et à tous les autres, c’est « On est avec vous et on vous appuie ! », a déclaré Martine Ouellet.
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Source :
Francine Trudeau
Présidente
Parti Québécois de Vachon
438-368-244