Projet de train électrique de la CDPQ – Le Parti Québécois accueille favorablement le projet, mais restera vigilant
Québec – La députée de Vachon et porte-parole du Parti Québécois en matière de transports, Martine Ouellet, et le porte-parole en matière de finances et de revenu, Nicolas Marceau, posent plusieurs questions au nom des usagers du futur système de transport collectif annoncé ce matin par la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ).
« Globalement, nous accueillons favorablement ce projet de transport collectif électrique dans la grande région de Montréal, mais nous serons vigilants sur plusieurs questions. Par exemple, comment la Caisse compte-t-elle rencontrer ses obligations de rendement envers les retraités tout en maintenant des tarifs compétitifs? Il n’y a aucune société de transport au Québec qui n’est pas fortement subventionnée par le gouvernement et, malgré cela, plusieurs connaissent des difficultés financières. Or, tous les détails du projet semblent connus, sauf un : les tarifs. La Caisse doit être transparente avec la population de la région métropolitaine. Si elle est en mesure, aujourd’hui, de parler publiquement des heures de service, des temps de déplacement et du nombre de stations, elle devrait être capable de s’avancer sur les tarifs qu’elle entend imposer pour atteindre la rentabilité et générer des profits, comme elle le prévoit », a déclaré Martine Ouellet.
Les députés rappellent que le Parti Québécois avait posé la question lors de l’étude détaillée du projet de loi instituant la CDPQ-Infra et la réponse était claire : le gouvernement ne peut pas subventionner la CDPQ-Infra, comme il le fait pour les autres sociétés de transport en commun.
« Plusieurs autres questions se posent, donc. Par exemple, quelles sont les garanties, pour les retraités, que leur argent est protégé, lorsque la Caisse se lance dans la construction et l’opération de services de transport en commun pour la première fois au Québec? La Caisse indique déjà qu’une partie de la rentabilité du projet proviendra de sa spéculation sur d’autres projets immobiliers situés le long du parcours. La transparence est de mise afin que la population sache à quoi s’attendre », a ajouté Nicolas Marceau.
Ligne jaune du métro – Le Parti Québécois demande la reprise des travaux de prolongement
Québec – Les députés du Parti Québécois de Longueuil, Martine Ouellet (Vachon), Bernard Drainville (Marie-Victorin) et Diane Lamarre (Taillon), demandent que le projet de prolongement de la ligne jaune du métro de Montréal soit repris, en parallèle du prolongement de la ligne bleue.
« Il est déplorable que le projet de prolongement de la ligne jaune du métro de Montréal soit arrêté et qu’aucun échéancier ne soit prévu, malgré toutes les analyses et les études entamées par le passé. Il s’agit d’un enjeu très important pour les gens de Longueuil et de la Rive-Sud, étant donné toute la congestion qu’il y a sur les ponts », a déclaré Martine Ouellet.
« Les citoyens de Longueuil et de la Rive-Sud vivent un stress immense; ils ont toujours peur d’arriver en retard au travail, sans compter que les heures qu’ils perdent sur les ponts sont des heures qu’ils pourraient passer auprès de leur famille. Il faut également prendre en considération les émissions de GES accrues et le smog que causent les voitures bloquées inutilement. Malheureusement, jusqu’à maintenant, le ministre des Transports, Jacques Daoust, n’a réussi qu’à démontrer qu’il ne prend pas la situation au sérieux », a ajouté Bernard Drainville.
« Lorsque le Parti Québécois formait le gouvernement, il y avait des projets liés à plusieurs lignes de métro. Est-ce que le ministre peut envoyer un signal clair que la ligne jaune ne sera pas abandonnée au détriment de la ligne bleue? Les projets peuvent très bien être menés parallèlement. Les résidents de la Rive-Sud ont été très patients. Le prolongement de la ligne jaune du métro est aussi synonyme de diminution des GES, un enjeu important pour tous », a conclu Diane Lamarre.
UberX – Le ministre des Transports doit déposer son projet de loi avant le 15 mai
Québec – Depuis plusieurs semaines, la députée de Vachon et porte-parole du Parti Québécois en matière de transports, Martine Ouellet, presse le ministre des Transports, Jacques Daoust, de déposer un projet de loi pour encadrer les services d’UberX. Aujourd’hui en Chambre, elle a réclamé qu’il agisse d’ici le 15 mai prochain, date limite pour faire adopter un projet de loi avant la fin de la présente session parlementaire. Jusqu’à maintenant, pourtant, le ministre a refusé de s’engager en ce sens.
« Sur le terrain, la situation se détériore. Chaque jour qui passe sans projet de loi permet à UberX de poursuivre ses activités illégales. Le ministre a eu suffisamment de temps. Il doit déposer son projet de loi pour interdire le taxi illégal au plus tard le 15 mai. C’est une question de justice et d’équité : tous les services de taxi doivent être soumis aux mêmes règles. Pourquoi y aurait-il un régime particulier pour UberX, et un autre pour les taxis? Le ministre n’a plus d’excuse; comme son prédécesseur, Jacques Daoust a répété à plusieurs reprises qu’il avait l’intention de déposer un projet de loi. Pourquoi attendre? », a demandé Martine Ouellet.
« Ça fait deux ans que le dossier est étudié. Nous avons abondamment travaillé sur l’encadrement de l’industrie du taxi et le Parti Québécois a même proposé un projet de loi pour contrer le taxi illégal. Déjà, deux consultations ont été menées : une à l’été 2014, et une autre ce printemps. Le ministre Jacques Daoust a toute l’information dont il peut rêver. Il a aussi répété qu’il faisait tout pour déposer dans les délais, mais il refuse de parler du 15 mai. Il doit pourtant agir, et vite », a conclu la députée du Parti Québécois.
«Cessons l’austérité et redonnons confiance et espoir par l’éducation et la prospérité»
Longueuil, le 11 avril 2016 – À l’occasion du deuxième anniversaire des élections de 2014, les députés Bernard Drainville, Diane Lamarre et Martine Ouellet ont tenu à faire le point sur les deux premières années du régime libéral. Le chef libéral Philippe Couillard s’est fait élire en promettant essentiellement deux choses : être le gouvernement de l’économie et diriger un «nouveau» Parti libéral, plus transparent et plus respectueux de l’éthique. Or, force est de constater qu’il a failli dans tous ces domaines. «Le Parti libéral est devenu le parti de l’échec. Aussi bien sur le plan de l’économie que sur celui de l’éthique. En plus, ils ont coupé dans nos écoles, favorisé la privatisation des services de garde et augmenté les tarifs des CPE jusqu’à 20$. En matière de santé, les réformes Bulldozer du ministre Gaétan Barrette ont créé beaucoup d’insécurité, fragilisé les CLSC, sans réduire le temps d’attente pour les patients», estiment les députés de Marie-Victorin, Taillon et Vachon à l’Assemblée nationale du Québec.
Le gouvernement doit cesser de malmener nos écoles et réinvestir dans l’avenir de nos enfants
L’éducation, c’est le meilleur investissement individuel et collectif qu’on ne puisse se donner comme société. L’école donne à nos enfants les moyens de développer leur plein potentiel humain afin de devenir des citoyens capables de contribuer à leur propre bonheur tout en contribuant à l’avancement de toute la société. «Il faut investir dans l’école pour qu’elle soit encore plus attrayante et stimulante pour nos enfants. Nos écoles sont vieillissantes, « renipons-les ». À celles qui ont besoin d’être réparées, rénovées, faisons-le. Donnons aux enseignants tous les moyens pour qu’ils transmettent à leurs élèves la soif d’explorer, la soif d’apprendre, la passion d’aller au bout de leur curiosité et de leurs talents. Quand le gouvernement coupe dans l’aide aux devoirs, dans les petits déjeuners, dans les services aux élèves en difficulté, il coupe dans le « goût » d’aller à l’école, qu’on soit enfant ou enseignant. Il faut, au contraire, investir dans l’école pour donner encore plus le goût de l’école. C’était d’ailleurs le sens du mouvement « Je protège mon école publique» et des chaînes humaines qui se sont formées devant les écoles Armand-Racicot et Christ-Roi auxquelles j’ai essayé de participer le plus souvent possible», soutient Bernard Drainville.
«J’ajoute ceci», insiste Bernard Drainville : «malgré l’austérité, nos écoles restent des milieux de vie extraordinaires. Je le sais depuis toujours et je l’ai constaté à nouveau ces derniers mois alors que j’ai amorcé la tournée des écoles du comté. Une par une. J’ai vu des enseignants passionnés, des directions d’école tout entière investies dans la réussite scolaire; des frimousses souriantes et énergisantes. Malgré les difficultés, la ruche continue de bourdonner. J’essaie de faire ma part en contribuant modestement, ici dans un projet pour regarnir une bibliothèque (école Christ-Roi), là dans des cours d’écoles (Jacques-Ouellette, des Petits-Explorateurs et Sainte-Claire) et depuis cinq ans, dans des bourses de persévérance scolaire (Gérard-Filion, St-Jean-Baptiste, LeMoyne d’Iberville et Jacques-Ouellette). Plus globalement, le gouvernement doit se donner un plan économique pour créer de la richesse et de la prospérité. Il doit en particulier miser sur l’émergence de nouveaux entrepreneurs qui vont participer à la création d’emplois d’avenir bien rémunérés et durables».
Moins de services pour la classe moyenne
«L’austérité a été créée de toutes pièces pour couper directement dans les services à la classe moyenne. À Saint-Hubert, on sent concrètement les effets directs de l’austérité libérale sur les familles. Plus que tout, elle met en danger l’avenir de nos enfants. Depuis son retour au pouvoir, le PLQ s’attaque à nos tout petits en coupant dans les services de garde. Les écoles de Saint-Hubert sont également touchées. La pétition initiée par Alain Riendeau, commissaire à Saint-Hubert, appuyée par la Commission Scolaire Marie-Victorin et la fédération des comités de parents, que j’ai parrainée et déposée, pour des investissements massifs et des services dans nos écoles, a d’ailleurs obtenu des milliers de signatures. De plus, je rencontre les conseils d’établissements des écoles primaires du comté, et c’est clair, les parents et les enseignants sont inquiets pour l’avenir de leurs enfants», a soutenu Martine Ouellet.
«En transport, les libéraux n’offrent rien de concret. Ça fait deux ans que le PLQ retarde le projet de système léger sur rail (SLR) sur le nouveau pont Champlain. Du côté du prolongement de la ligne jaune du métro de Longueuil, tout est au point mort. À quand la mise en place du bureau de projet ? La Rive-Sud a besoin de ces projets structurants pour assurer son développement économique et pour désengorger le trafic. Alors qu’on demande aux familles de se serrer la ceinture, pendant ce temps-là, les libéraux se paient une grosse campagne de 2M$ pour un autre budget austère. L’austérité n’est visiblement pas la même pour tout le monde», a conclu Martine Ouellet.
Réformes improvisées du ministre Barrette
«Depuis deux ans que je suis élue députée de Taillon je n’ai cessé de dénoncer les manques d’accès criant aux services de santé. L’accès, non seulement ne s’est pas amélioré, mais les réformes improvisées du ministre Barrette l’ont aggravé. Les décisions sont encore plus éloignées des besoins du terrain, donc des patients. À Longueuil, outre le Centre Nazareth Louis-Braille pour lequel j’ai fait reculer le ministre, l’administration des services qui se faisait depuis Longueuil se fait désormais à St-Hyacinthe. Les délais en chirurgie, notamment pour les gens atteints de cancer, doivent être corrigés en priorité, mais le ministre trouve toute sorte d’autres priorités sur ses seules impressions et préjugés; la plupart favorisant le privé et des coûts pour les citoyens comme les frais accessoires.
Alors que la population en Montérégie est parmi la plus vieillissante au Québec, rien n’est venu améliorer les soins à domicile. Quand cela deviendra-t’il une réelle priorité pour le ministre Barrette? Plus de 10 000 personnes ont recours aux banques alimentaires chaque mois à Longueuil seulement. Les intervenants des organismes nous disent que les personnes vulnérables sont de plus en plus nombreuses et les ressources de moins en moins disponibles pour leur venir en aide. Les Québécois veulent du développement économique et le maintien des services en éducation et en santé, les piliers d’une équité sociale. Or, le gouvernement actuel démantèle les acquis fondamentaux que les Québécois se sont donnés tous ensemble. Personne ne leur a donné ce mandat lors de l’élection il y a deux ans. C’est un leurre perpétuel. Les mauvais choix sociaux et économiques s’accumulent !», a déclaré Diane Lamarre.
Projet de loi 76 sur le transport collectif – Le Parti Québécois obtient des garanties pour les couronnes nord et sud de Montréal
Québec – La porte-parole du Parti Québécois en matière de transports, de stratégie maritime, d’électrification des transports et de stratégie numérique et députée de Vachon, Martine Ouellet, ainsi qu’André Villeneuve, député de Berthier, ont obtenu des garanties du ministre Jacques Daoust pour préserver le pouvoir décisionnel en transport collectif dans les couronnes nord et sud de Montréal.
« Le Parti Québécois a réussi à obtenir des gains importants sur le fonctionnement du réseau afin que les élus de la couronne sud et ceux de la couronne nord continuent de prendre les décisions sur leur territoire respectif », a expliqué Martine Ouellet.
Tant sur le plan de la desserte que pour la répartition du financement, des amendements au projet de loi 76 ont été obtenus par la députée de Vachon, permettant aux élus des deux couronnes de décider sur leur territoire. « Nous aurions souhaité plus d’autonomie pour la gestion du transport par autobus et adapté pour chacune des couronnes, mais la création des deux comités au sein du réseau, un pour la couronne nord et un deuxième pour la couronne sud, est une très nette amélioration du projet initial. De plus, des clauses de retrait permettent aux municipalités de décider elles-mêmes de la répartition du financement », a ajouté Martine Ouellet.
Le Parti Québécois a également fait un gain important pour les citoyens situés hors de la zone du réseau, en obtenant l’obligation, pour le réseau, d’offrir la continuité des services de transport collectif sur les territoires en périphérie du réseau.
« Il était important pour le Parti Québécois que la réorganisation imposée par le projet de loi 76 ne se fasse pas aux dépens des services offerts aux citoyens des régions périphériques, notamment en matière de transport adapté », a souligné André Villeneuve.
Taxi illégal – Il y a division entre le premier ministre Couillard et son ministre Daoust
Québec – La députée Martine Ouellet, porte-parole du Parti Québécois en matière de transports, de stratégie maritime, d’électrification des transports et de stratégie numérique, dénonce l’ingérence du premier ministre Couillard, qui empêche son ministre des Transports, Jacques Daoust, d’agir pour contrer le taxi illégal en bloquant le dépôt de son projet de loi.
« Après Robert Poëti, c’est maintenant au tour de Jacques Daoust de se buter à l’ingérence du premier ministre Philippe Couillard dans le dossier du taxi illégal. Les deux ministres des Transports, M. Poëti à l’automne 2014 et M. Daoust cet hiver, ont déclaré en commission parlementaire qu’UberX faisait du transport illégal. Lors de la comparution d’Uber en février dernier, le ministre Daoust se demandait comment l’entreprise pouvait se « réjouir d’avoir abusé du système 450 000 fois dans un mois ». Il n’y a que le premier ministre Couillard qui protège la multinationale étrangère en cautionnant le taxi illégal. Pourquoi le premier ministre s’ingère-t-il constamment en faveur d’Uber, allant même à l’encontre de la volonté de ses propres ministres? Pourquoi M. Couillard tolère-t-il l’illégalité d’UberX, au détriment de 20 000 travailleurs québécois? », a demandé la députée de Vachon.
Pendant que le bureau du premier ministre fait de l’obstruction, la réalité sur le terrain continue de se détériorer. Encore la semaine dernière, un juge a refusé de remettre leur véhicule aux chauffeurs récidivistes, estimant que la caution exigée actuellement était insuffisante pour contrer le taxi illégal.
« Le premier ministre est maintenant le seul responsable des perturbations que l’on connaît. Il laisse pourrir la situation depuis plusieurs mois déjà. Il est plus que temps que Philippe Couillard laisse son ministre des Transports faire son travail et appliquer la loi. Le gouvernement peut agir dès maintenant, que ce soit par injonction, comme à Calgary, ou encore en appelant notre projet de loi 593 visant à contrer le taxi illégal, déposé le 18 février dernier. Nous offrons également toute notre collaboration pour l’étude d’un projet de loi qui viendrait moderniser la loi sur les taxis », a conclu Martine Ouellet.
Projet de loi 76 sur le transport collectif – Le Parti Québécois obtient des garanties pour les couronnes nord et sud de Montréal
Québec – La porte-parole du Parti Québécois en matière de transports, de stratégie maritime, d’électrification des transports et de stratégie numérique et députée de Vachon, Martine Ouellet, ainsi qu’André Villeneuve, député de Berthier, ont obtenu des garanties du ministre Jacques Daoust en matière de transport adapté, lors de l’étude détaillée du projet de loi 76.
« Sur la question du maintien du service de transport adapté dans les couronnes nord et sud de Montréal, le ministre Daoust nous a donné des garanties claires quant à la continuité des contrats présentement en vigueur. Il n’y aura pas de diminution de service », a déclaré Martine Ouellet.
Le ministre a également affirmé qu’avec la mise en place du Réseau de transport métropolitain, les déplacements interterritoires seraient facilités. De plus, pour les zones hors territoire, l’Autorité régionale de transport métropolitain aura l’obligation, en fonction d’un amendement, d’offrir une continuité dans les services pour les usagers du transport adapté.
Afin de faire valoir les préoccupations de la population de Lanaudière, André Villeneuve a déposé en commission parlementaire une lettre du Regroupement des usagers de transport adapté de Lanaudière. On y invite le ministre à poursuivre le projet qui offre aux personnes admissibles au transport adapté un service leur permettant de se déplacer sur l’ensemble du territoire de Lanaudière, à raison d’au moins une journée par semaine.
« Ce service est vraiment important pour les gens de ma région. Le projet permet de briser l’isolement et de rendre accessibles les différents services de transport à l’ensemble de la population lanaudoise », a souligné André Villeneuve.
Le Parti Québécois continuera à faire son travail en commission parlementaire pour clarifier et améliorer le projet de loi 76.
Martine Ouellet en tournée dans les écoles de Saint-Hubert
Saint-Hubert, le 21 mars 2016 – La députée de Vachon, Martine Ouellet, fait une tournée des écoles primaires de Saint-Hubert pour sensibiliser les jeunes Hubertins aux enjeux liés à la protection de l’eau potable et de sa consommation responsable.
À la rencontre des décideurs de demain
La députée complètera sa tournée le 1er avril prochain lors d’une présentation à l’école d’Iberville après avoir fait l’ensemble des classes de 5e année de Saint-Hubert. « C’est la 6e année que je fais une tournée sur l’eau dans les écoles, mais c’est la première année où je réussis à faire l’ensemble des écoles ! C’est plus de 500 élèves et plus de 20 enseignantes qui ont reçu une bouteille d’eau réutilisable, un cahier pédagogique, en plus de la présentation sur la gestion responsable des eaux.
Que ce soit à l’école Charles-Le Moyne, d’Iberville, de la Mosaïque, de Maricourt, du Jardin-Bienville, Gaétan Boucher, Laurent-Benoit, des Mille-Fleurs ou Paul-Chagnon, j’ai reçu des questions très pertinentes de la part des élèves allant des réseaux d’aqueducs jusqu’au cycle de l’eau en passant par l’eau embouteillée ! J’ai pu rencontrer des dizaines d’élèves curieux et soucieux de la protection de l’eau potable. Je tiens à remercier toutes les directions d’école et toutes les enseignantes qui m’ont chaleureusement accueillie dans leur classe ! », a déclaré Martine Ouellet.
Le 22 mars : Journée mondiale de l’eau
« C’est sous le thème « L’eau et l’emploi » que se déroulera, le 22 mars prochain, la journée mondiale de l’eau. L’eau est non seulement vitale en matière de santé, mais aussi d’emploi en permettant de subvenir au développement économique, social et humain. Aujourd’hui, encore en 2016, ce sont près de 700 millions de personnes n’ont pas accès à l’eau potable selon l’ONU et comme dans la chanson des Cowboys Fringants, à chaque 8 secondes, c’est un enfant qui meurt dans le tiers-monde », a conclu la députée.
Martine Ouellet expose le « chromosome de l’amour »
Saint-Hubert, le 18 mars 2016 – Une centaine de personnes se sont réunies le vendredi 4 mars dernier à l’occasion du vernissage de la Société Québécoise de la Trisomie-21 qui lance sa quatrième tournée nationale de sensibilisation. L’événement était co-organisé par Martine Ouellet, députée de Vachon, ainsi que par Sylvain Fortin, président de la SQT-21 qui a reçu la médaille de l’Assemblée nationale à cette occasion.
Visages de lumière
C’est sous cette thématique que débute la 4e campagne nationale de sensibilisation à la trisomie 21, qui prend la forme d’une exposition itinérante de photographies et de poésies portant sur les personnes qui ont le « chromosome de l’amour ».
« C’est un honneur pour moi que la campagne de sensibilisation débute à nos bureaux et d’ailleurs, le vernissage a été un grand succès ! Je vous laisse vous imaginez ces jeunes qui se sont vu sur les photos ! Disons qu’on a eu beaucoup de rires et aussi quelques larmes de tendresse pendant les discours », a déclaré Martine Ouellet.
« On se sent privilégiés de débuter notre campagne au bureau de Martine Ouellet. L’ambiance était à la fois chaleureuse et festive, on a vécu beaucoup d’émotions ça c’est sans contredit ! Cette campagne de sensibilisation vise à susciter l’émergence d’une solidarité sociale ayant comme point de mire les personnes qui vivent avec une trisomie-21 et de mieux les faire connaître par le biais de leur merveilleuse force qui consiste à aimer inconditionnellement et à vivre sans préjugé envers les autres », a souligné Sylvain Fortin.
Un président d’exception
« Monsieur Fortin est président et fondateur de la Société Québécoise de la Trisomie-21. Dans les 16 dernières années, il a fait trois campagnes nationales toutes aussi uniques et originales les unes que les autres : un tour du Québec à vélo, une chanson dédiée aux personnes vivant avec la trisomie-21 ; Inconditionnel et un conte pour enfant ; Le semeur de câlins. En plus de ces campagnes, il a créé un fond d’aide spécial pour des services d’aide juridique et il travaille maintenant sur un projet de mémorial. En reconnaissance de ses accomplissements pour une cause importante, j’ai donné la médaille de l’Assemblée nationale à Sylvain Fortin ! », a souligné la députée.
« Je suis honoré de recevoir cette marque de reconnaissance qui me fait particulièrement chaud au cœur. Je tiens à remercier Madame Ouellet pour sa générosité et son accueil. Nous avons comme responsabilité collective de redoubler d’efforts et de bâtir une société qui fera du Québec non seulement le meilleur endroit au monde pour élever une famille, mais également un havre de paix où vie de famille rime avec satisfaction et épanouissement avec nos enfants vivant avec une trisomie‑21 », a conclu le président.
« Finalement, j’aimerais saluer l’organisme de Saint-Hubert, « L’appart à moi », qui vise à appuyer les personnes vivant avec la trisomie-21 en proposant un projet de logements pour développer l’autonomie de ces personnes. », a terminé Martine Ouellet.
L’exposition en deux volets regroupe 21 photographies représentant des enfants et des adultes qui vivent avec une trisomie‑21 dans leur quotidien et un poème associé à chacune des photos. Les œuvres seront exposées jusqu’au 31 mars de cette année et les citoyens peuvent venir les observer à la Maison des citoyens pendant les heures d’ouverture : 9h à 12h et 13h à 16h, du lundi au vendredi.
Industrie du taxi – Le Parti Québécois fait part de ses attentes à l’issue des consultations
Québec – À l’issue des consultations parlementaires sur l’industrie du taxi, qui se sont terminées jeudi dernier, la députée Martine Ouellet, porte-parole du Parti Québécois en matière de transports, de stratégie maritime, d’électrification des transports et de stratégie numérique, a fait part des attentes du Parti Québécois au ministre des Transports, Jacques Daoust.
« La commission parlementaire sur le taxi nous a permis d’entendre plus d’une trentaine d’intervenants de plusieurs horizons. Nous avons pu, ainsi, obtenir un portrait plus réel et actuel de l’état des lieux dans l’industrie du taxi, tant sur le plan des développements technologiques qui sont déployés déjà depuis 2009, mais de façon inégale, que sur les aspects financiers, de sécurité et d’assurances », a déclaré la députée.
Le ministre Daoust doit suspendre dès maintenant le transport illégal « Malgré l’indignation du ministre des Transports, UberX a refusé de suspendre ses activités pendant la commission parlementaire. Dans quelle autre industrie le gouvernement du Parti libéral tolère-t-il des activités illégales faites au grand jour? Il est essentiel que le ministre Daoust prenne les moyens qui sont à sa disposition pour suspendre le transport illégal, comme l’a fait la ville de Calgary, avec son injonction, ou en appelant le projet de loi 593, déposé par le Parti Québécois et visant à contrer le taxi illégal. Paris aussi l’a fait, comme l’Espagne et plusieurs villes d’Allemagne. Il n’y a aucune raison qui justifie l’inaction du Parti libéral. Cette suspension, à défaut d’être volontaire, doit être en vigueur jusqu’à l’adoption d’un nouveau projet de loi. Sinon, comment garantir la paix sociale et le respect des nouvelles règles? », a demandé Martine Ouellet.
Amélioration de l’expérience client et de l’offre de service
Le Parti Québécois demande au ministre de faire en sorte :
- de faciliter l’expérience pour les clients;
- en généralisant l’implantation des technologies numériques qui intègrent, dans la même application mobile, la géolocalisation, le paiement électronique, le module de Revenu Québec pour les taxes ainsi qu’une évaluation de l’expérience client;
- en rendant disponible une seule application mobile parapluie pour tout le Québec ou par grands territoires, ce qui permettrait aux clients de choisir entre les différentes compagnies de taxi ou le taxi le plus près. De plus, les propriétaires indépendants pourraient avoir accès à un système de répartition mobile. Cette avenue nous semble particulièrement intéressante;
- en ajustant et en bonifiant la formation des chauffeurs, pour garantir un meilleur service aux clients;
- d’assurer une meilleure offre sur le territoire;
- en permettant à la Commission des transports du Québec de fixer des tarifs incitatifs, par exemple pour les soirs, les fins de semaine et les jours fériés;
- en recherchant un équilibre dans la répartition par agglomération, afin de maximiser les déplacements des chauffeurs et de réduire le plus possible les retours à vide, tout en garantissant un service adéquat sur l’ensemble du territoire;
- de garantir le paiement des taxes par tous les chauffeurs.
Enfin, Martine Ouellet demande au ministre Daoust de préciser sa pensée. « Le ministre s’est déjà avancé sur le rachat de permis, mais rien n’est clair. Combien de permis veut-il racheter? À quel prix? Et à qui? Qui va payer? Est-ce que le ministre a l’intention de se lancer dans le business d’acquisition et de location de permis de taxi? Tout ça est flou et nécessite une clarification. Nous devons nous assurer que les chauffeurs reçoivent une indemnité juste, à la hauteur des investissements qu’ils ont faits pour acquérir leur permis », a-t-elle conclu.
Supplément:
La vidéo de la conférence de presse.