• Remaniement ministériel – Transports – Le Parti Québécois demande à Laurent Lessard d’agir

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    Québec – La députée de Vachon et porte-parole du Parti Québécois en matière de transports, de stratégie maritime et d’électrification des transports, Martine Ouellet, souhaite la bienvenue au nouveau ministre des Transports, Laurent Lessard, tout en soulignant qu’il devra agir rapidement dans certains dossiers qui traînent.

    Industrie du taxi

    « D’abord, en ce qui concerne UberX, une multinationale étrangère, qui fait du taxi illégal, qui ne paie pas ses taxes et qui se cache dans les paradis fiscaux, nous nous attendons à ce que Laurent Lessard respecte la parole de ses deux prédécesseurs, Jacques Daoust et Robert Poëti, et qu’il ne crée pas deux classes de chauffeurs. UberX doit être soumise aux mêmes règles que le reste de l’industrie du taxi. Laurent Lessard ne doit pas se servir des projets pilotes pour créer de la concurrence déloyale et, par la porte d’en arrière, légaliser ce qui est illégal aujourd’hui. Rappelons-nous que des dispositions du projet de loi 100 sur l’industrie du taxi, qui doivent entrer en vigueur le 8 septembre prochain, donneront des poignées supplémentaires au ministre pour contrer le taxi illégal. Le ministre et le Parti libéral n’auront plus de prétexte pour tolérer l’illégalité. Ils devront faire respecter la loi », a insisté Martine Ouellet.

    Scandale au MTQ

    La députée est par ailleurs d’avis qu’il est essentiel que Laurent Lessard se souvienne de la crise qu’a traversée le ministère des Transports (MTQ) au printemps dernier. « Le ministre doit poursuivre le travail commencé par Annie Trudel pour rétablir la confiance du public envers le MTQ. Il doit aussi réintégrer Louise Boily dans ses anciennes fonctions de directrice des audits du MTQ, et veiller à ce que les professionnels en conformité des processus, les PCP, ne relèvent plus des directions territoriales du MTQ, où ils sont en conflit d’intérêts, mais plutôt de la haute direction au ministère. Laurent Lessard doit également s’engager à mettre un terme à la pratique consistant à confier des contrats aux anciens employés du ministère », a-t-elle réclamé.

    Transport de pétrole

    « Ensuite, le terrible accident survenu il y a quelques jours sur l’autoroute 40 nous a douloureusement rappelé les risques que le transport de pétrole représente pour la sécurité des citoyens. Nous exigeons que le ministre impose plus de transparence lorsqu’il est question des trajets et de la fréquence du transport de matières dangereuses, et qu’il rende publique toute l’information quant à la nature des produits transportés et aux risques qui y sont associés, que le transport soit effectué par camion, par train ou par bateau », a ajouté Martine Ouellet.

    Trafic nuisible pour la région de Montréal

    « Enfin, le trafic à Montréal et dans toute la région métropolitaine est rendu tout à fait intenable. À toute heure du jour ou de la nuit, il est possible de s’y embourber dans du pare-chocs contre pare-chocs. Très clairement, il y a une mauvaise planification des travaux et, avec le retour à l’école, la situation ne va qu’empirer. C’est un coup dur pour le développement économique de toute la région métropolitaine. M. Lessard doit aller plus loin que les mesures d’atténuation annoncées dernièrement. Il doit mettre en place des mesures encore plus importantes pour le transport collectif dont, par exemple, plusieurs nouveaux départs pour les trains de banlieue et les métros. Le nouveau ministre doit aussi fournir les ressources nécessaires pour accélérer l’achèvement des travaux. Il ne revient pas aux citoyens de subir indéfiniment les conséquences d’une décennie d’incurie libérale dans l’entretien de nos infrastructures routières », a conclu la députée de Vachon.

  • Martine Ouellet dévoile la Constitution initiale de la République du Québec

    Québec, le lundi 15 août 2016 : La députée de Vachon et candidate à la chefferie du Parti Québécois, Martine Ouellet, accompagnée d’André Binette, de Gilbert Paquette, de Xavier Barsalou-Duval et de plusieurs militants de la Capitale-nationale, est passée de la parole aux actes en déposant son projet de Constitution initiale de la République du Québec, qui a été rédigé en collaboration avec André Binette, Gilbert Paquette et Louis Bernard.

    « Je mets beaucoup d’espoir dans cette démarche. On vient, pour la première fois depuis 1995, de relier le projet d’indépendance à un plan constitutif concret auquel les Québécois pourront se référer. C’est un très grand pas vers l’avant qu’on vient de faire. Aujourd’hui est un jour important pour la cause du Québec », a déclaré la candidate.

    La Constitution initiale de la République du Québec sera soumise à la consultation populaire par la Commission préconstituante, tel que présenté dans le Plan Ouellet 2018-2022 pour une République du Québec. L’aspirante-chef remplie une première promesse en dévoilant le projet de Constitution initiale de la République du Québec, qui sera votée par le peuple Québécois lors d’une consultation par référendum. La question référendaire sera la suivante :

    « Acceptez-vous que le Québec devienne un pays souverain et indépendant suivant la Constitution initiale proposée par l’Assemblée nationale? OUI ou NON »

    « La constitution présentée aujourd’hui fera du Québec une République souveraine et indépendante. Faire une république, c’est redonner le pouvoir au peuple en rejetant la monarchie britannique. Nous remplacerons le poste de lieutenant-gouverneur du Québec par celui de Président de la République du Québec. Faire une république, c’est établir une véritable démocratie », a déclaré Martine Ouellet.


    Les droits et libertés

    Martine Ouellet prévoit dans son projet de constitution l’enchâssement de la Charte des droits et libertés de la personne du Québec : « Nous allons nous débarrasser de la Charte des droits et libertés canadienne et de son multiculturalisme ghettoïsant. Nous allons la remplacer par la Charte des droits et libertés de la personne du Québec! »

    Égalité entre les hommes et les femmes

    Les droits et libertés devront s’exercer et être interprétés dans le respect des valeurs d’égalité entre les hommes et les femmes. « C’est une valeur centrale dans les relations sociales au Québec. Nous sommes un des peuples les plus égalitaires au monde. Nous devons nous assurer de toujours faire respecter, sans compromis, l’égalité entre hommes et les femmes », a déclaré la candidate.

    Une république laïque

    Pour Martine Ouellet, la séparation entre les religions et l’État, la neutralité religieuse et le caractère laïque de nos institutions, sont des éléments incontournables : « La laïcité de l’État est un grand consensus au Québec. Depuis la Révolution Tranquille, les Québécois ont séparé la religion de l’État et notre équipe s’inscrit dans cette lignée historique. L’État du Québec sera laïc, et assurera une neutralité devant toutes les croyances ».

    Français : langue officielle et commune du Québec

    Tel qu’annoncé en juillet dernier, Martine Ouellet a enchâssé le français comme langue officielle et commune du Québec à l’intérieur de son projet de constitution.

    « La Cour suprême du Canada a charcuté, décision après décision, la Charte de la langue française en se basant sur la constitution canadienne qui n’a jamais été adoptée par le peuple du Québec. Aujourd’hui, le français et l’anglais se retrouvent sur un pied d’égalité, tant au niveau de la législation que de la justice, ce qui a conduit à une bilinguisation de l’État. Le peuple québécois est le seul peuple des Amériques à être de langue française. La langue officielle du Québec c’est le français et nous l’enchâsserons dans la Constitution de la République du Québec », a déclaré Martine Ouellet.

    Autochtones : Établir des relations de nation à nation

    L’équipe de Martine Ouellet a inscrit dans la Constitution initiale que celle-ci doit être interprétée de manière compatible avec la Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones, adoptée en 2007. La candidate propose aussi la mise en place d’un Conseil sur les droits des peuples autochtones qui pourra faire des propositions pour mettre fin à la triste réalité imposée par le régime canadien.

    « C’est un tournant historique dans nos relations avec les peuples autochtones. Nous mettrons fin aux injustices et à la négligence du régime canadien. L’indépendance du Québec donnera plus d’autonomie tant en matière de gestion du territoire qu’en matière d’épanouissement culturel aux nations abénaquise, algonquine, atikamek, crie, huronne, innue, malécite, micmaque, mohawk, naskapie et inuit », a affirmé Martine Ouellet.

    Monnaie, territoire et traités internationaux

    Conformément aux règles du droit international, le Québec conservera ses frontières et assurera la continuité de l’ensemble des traités et des relations internationales, tels qu’ils seront au moment de la proclamation de son indépendance.

    La Constitution initiale déposée par Martine Ouellet prévoit aussi de conserver la monnaie canadienne. Les petits et les grands épargnants, les consommateurs et les commerçants, les travailleurs et les entreprises, ont avantage à avoir de la stabilité et de la prévisibilité économiques.

    « Si vous allez sur le terrain et que vous parlez avec des PDG de grandes entreprises ou de PME, ce qu’ils vous dirons, c’est qu’ils veulent pouvoir prévoir ce qui se passera après la victoire du OUI. Ils sont évidemment d’accord que produire un seul rapport d’impôt c’est moins de paperasse que deux, mais ils ont aussi besoin de se faire rassurer sur la politique monétaire et ce qu’on leur dit aujourd’hui, c’est que la stabilité monétaire sera au rendez-vous », a affirmé Martine Ouellet.

    L’eau : une ressource patrimoniale

    Pour Martine Ouellet, qui a été porte-parole et présidente d’Eau Secours!, la protection de l’environnement et de l’eau doit être enchâssée dans la constitution : « Nous sommes en 2016. Notre économie doit arriver au XXIe siècle. Nous devons effectuer un virage économique majeur, comme je l’ai proposé dans mon plan de développement économique intelligent Climat Québec 2030. Nous devons dorénavant utiliser le génie humain pour développer une économie du savoir et des hautes-technologies afin de positionner le Québec comme un véritable leader de la nouvelle économie mondiale ».

    Vers la Constitution définitive

    Une assemblée constituante sera mise sur pied au lendemain d’une victoire du OUI pour la République du Québec afin de rédiger et d’adopter sa Constitution définitive.

    Elle devra prévoir la décentralisation vers des instances locales et régionales avec des pouvoirs spécifiques, ainsi que des ressources fiscales et financières adéquates.

    Elle devra aussi garantir à la communauté anglophone la préservation de son identité et de ses institutions. Elle aura aussi l’obligation de reconnaitre aux peuples autochtones le droit de se gouverner sur des terres leur appartenant en propre. Et le tout devra s’exercer dans le respect de l’intégrité du territoire québécois.

    Finalement, la constitution établie par l’assemblée constituante devra définir le système électoral du Québec, après avoir évalué les modes de scrutin proportionnels. La Constitution permanente devra aussi établir quel type de régime politique ce sera, que ce soit un régime présidentiel, un régime parlementaire ou un hybride qui soit finalement choisi.

    « Le projet de l’indépendance du Québec doit se faire avec l’ensemble des franges qui constituent notre société. Pour ce faire, il est impératif de dresser la liste des valeurs derrières lesquelles nous convergeons. Ce document maintenant, il existe. Les objectifs qu’il porte vont au-delà des intérêts de la course à la direction du Parti Québécois. Cette constitution, c’est aux Québécois que je la remets. C’est au peuple québécois qu’elle appartient à présent et c’est à lui d’en disposer pleinement », a conclu Martine Ouellet.

    Pour consulter le document intégral :

    Constitution initiale de la République du Québec

  • Martine Ouellet misera sur le potentiel sportif du Québec

    Montréal, le samedi 13 août 2016  C’est accompagnée de la Fondation Équipe-Québec, du député bloquiste de La-Pointe-de-l’Île, Mario Beaulieu et d’athlètes de plusieurs disciplines, que Martine Ouellet, candidate à la direction du Parti Québécois, a annoncé qu’une fois élue première ministre, elle financera la mise sur pied d’équipes sportives québécoises qui participeront aux grandes compétitions internationales, dont les Jeux olympiques.

    « Le Québec possède un immense potentiel sportif. Il y a énormément de talent chez les athlètes québécois. Ce que je propose, c’est de faire en sorte que ces sportifs passionnés puissent rayonner à travers le monde en portant les couleurs de leur appartenance véritable, le Québec », a déclaré Martine Ouellet. En effet, la très grande majorité des Québécois affirment vouer leur sentiment d’appartenance d’abord au Québec. « En multipliant les équipes sportives québécoises à l’international, on ouvre la porte à des retombées économiques plus que considérables et, surtout, on ouvre aux athlètes l’accès à cette magie qui entoure le sentiment d’être porté par sa nation et d’y contribuer par sa passion », a ajouté la candidate.

    Un financement rentable et à coût nul

    Plusieurs experts s’entendent pour dire qu’une fois rapatriée, la part que le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport du Québec envoie au Canada pour les athlètes québécois sera largement suffisante pour financer des équipes du Québec dans toutes les disciplines. En favorisant la formation de ces équipes, non seulement on crée des emplois (entraîneurs, techniciens, diététistes, joueurs, etc.), mais on ajoute également aux actifs québécois tous les bénéfices que rapporte le retentissement sportif à l’international. « Pensons à l’engouement touristique que provoquent les compétitions internationales et aux bienfaits issus de la visibilité qu’elles rapportent. La preuve que le sport est un outil efficace de développement économique, en plus d’être lucratif, n’est plus à faire. Le temps est venu pour le Québec de sauter dans l’arène » a affirmé la députée.

    Le Québec aux grandes compétitions internationales

    L’équipe Ouellet compte faire le nécessaire pour que le Québec soit représenté dans toutes les grandes compétitions internationales et croit que le Québec pourra faire compétitionner ses équipes dans plus d’une vingtaine de sports aux Jeux olympiques de Tokyo en 2020 et participer à tous les sports aux Jeux d’hiver de Pékin, en 2022. « Je suis persuadée que les Québécois seront emplis de fierté face aux succès de leurs athlètes un peu partout sur la planète. J’anticipe que je serai moi-même très émue, lorsque je verrai pour la première fois l’équipe du Québec défiler pour la première fois lors du défilé officiel d’ouverture des Jeux olympiques à Tokyo », dit Martine Ouellet.

    Libérer les athlètes du climat politique

    De trop nombreux témoignages font acte d’actions répressives influencées par le climat politique que subissent des athlètes. Il y a l’exemple plus connu de Jennifer Carroll, athlète québécoise, qui en 2002 est montée sur le podium avec un drapeau du Québec, soulevant l’ire de Natation Canada et de l’entraîneur de l’équipe qui avaient alors demandé à l’athlète de s’excuser, en plus de lui retirer son brevet qui correspondait à une somme de 13 000 $ par année. Cette histoire avait provoqué une polémique au Québec.

    Il y a eu ce cas par le passé, mais encore aujourd’hui, il arrive fréquemment que des situations surviennent où des athlètes se sentent discriminés par des actions motivées par le climat sociopolitique. Par exemple, depuis 25 ans, beaucoup de hockeyeurs québécois se sentent brimés dans la représentativité du Québec au sein d’Équipe Canada. Alors que 20 % du bassin des joueurs du Canada sont québécois, Équipe Canada en compte pourtant moins de 10 %. Certains y voient une injustice. « Que les interprétations ou les histoires soient justifiées ou pas, ce n’est pas là la question. Ce que nous voulons souligner, c’est qu’on peut clairement sentir qu’une pression existe chez les athlètes québécois. Pourtant, le sport doit être un milieu de trêve et de passion. C’est ça, l’esprit sportif », a conclu Martine Ouellet.

  • Projet de loi 106: Martine Ouellet demande le retrait de la section hydrocarbures

    Montréal, le mercredi 3 août 2016 – La candidate à la chefferie du Parti Québécois et députée de Vachon, Martine Ouellet, demande le retrait des 269 articles de la Loi sur les hydrocarbures cachés à l’intérieur du projet de loi fourre-tout regroupant tant une nouvelle loi sur la transition énergétique, des modifications à la Régie de l’énergie, à la Loi sur Hydro-Québec pour l’électrification des transports, qu’une nouvelle loi sur le pétrole et le gaz.

    Une pilule amère dans la boîte de smarties

    Martine Ouellet dénonce l’hypocrisie dont fait preuve le gouvernement Couillard dans le projet de loi 106 : « Philippe Couillard tente de faire du chantage avec le projet de loi 106 en conditionnant l’adoption de mesures pour la transition énergétique et l’électrification des transports à l’adoption d’une loi sur les hydrocarbures. De plus, la section sur les hydrocarbures ne respecte d’aucune façon les recommandations des consultations tenues depuis plus de 7 ans, à commencer par les consultations sur le gaz de schistes. Les citoyens et les groupes se sont exprimés à plusieurs reprises, mais rien ne transparait dans la section sur le pétrole et gaz du projet de loi 106. Le PLQ concocte un projet de loi contenant 384 articles, dont 269 portant sur la Loi sur les hydrocarbures et ose nommer le projet de loi : Loi concernant la mise en œuvre de la Politique énergétique 2030 et modifiant diverses dispositions législatives. Ils manquent de respect envers l’ensemble des Québécois. », a dénoncé Martine Ouellet

    Des vacances, mais pas pour tout le monde

    Le gouvernement Couillard a présenté le projet de loi 106 à la dernière semaine de la session parlementaire, le 7 juin dernier, et appelle les consultations particulières en plein été, du 16 au 19 août prochain. « Manœuvre bien libérale que celle de déposer et d’étudier un dossier controversé pendant les vacances pour essayer de nous passer en douce l’inacceptable. » dénonce Martine Ouellet. « Le PLQ ne laisse même pas le temps nécessaire aux comités de citoyens de s’organiser et de se préparer avant les consultations. On le sait, ce sont des bénévoles et là, le PLQ leur met une pression supplémentaire absolument injustifiée. En plus, ils n’ont convoqué qu’une trentaine de groupes, tous triés sur le volet, excluant ainsi volontairement plusieurs groupes citoyens engagés dans le domaine des hydrocarbures. Même le Regroupement Vigilance Hydrocarbure Québec, qui représente 130 comités, s’est vu refuser l’accès. C’est évident que c’est de la mauvaise foi ! », a ajouté la candidate à la direction du Parti Québécois.

    Le PLQ doit refaire ses devoirs

    Martine Ouellet juge que le gouvernement Couillard doit refaire ses devoirs et doit scinder le projet de loi 106 pour extraire les 269 articles modifiant la Loi sur les hydrocarbures. L’aspirante cheffe du Parti Québécois compte obliger ; plus de consultations dont la tenue d’un BAPE avant tout forage portant tant sur les volets économique, environnemental que citoyen ; plus de transparence ; une meilleure protection pour les municipalités et les citoyens ; de meilleures pratiques au niveau technique; et des suivis plus rigoureux. « Si je suis élue chef du Parti Québécois, l’Opposition officielle utilisera tous les moyens parlementaires possibles pour faire entendre la voix des citoyens. », a ajouté la candidate.
    Le PLQ va dans la mauvaise direction

    « Alors que le GIEC nous indique que l’on doit garder les 2/3 des hydrocarbures dans le sol, le PLQ veut plutôt nous embourber dans l’énergie fossile qui est néfaste pour l’économie, l’environnement et la société. L’avenir du Québec, c’est les énergies renouvelables, l’électrification des transports et l’efficacité énergétique, comme je le propose dans mon plan de développement économique intelligent Climat Québec 2030. », a déclaré la candidate.

    Document Climat-Québec 2030

  • Redonner au français son véritable statut de langue officielle du Québec

    Montréal, le mardi 26 juillet 2016 : Pour la candidate à la direction du Parti Québécois et députée de Vachon, Martine Ouellet, reprendre le dossier mis de l’avant par les Pères de la Charte de la langue française, le docteur Camille Laurin et le Premier ministre René Lévesque, sera une priorité. À la suite de son élection à la tête du gouvernement, la députée promet de restaurer les dispositions initiales de la Loi 101 dans la législation, la justice et le marché du travail.

    « Nous devons enfin mettre un terme à cette question. Il est essentiel de faire en sorte qu’il soit définitivement clair et établi officiellement que le visage du Québec est français, au même titre que celui de l’Allemagne est allemand, ou celui du Brésil est portugais. Pour que ce soit réalisable, nous devons mettre en place toutes les mesures nécessaires pour que la langue française redevienne la langue de l’État », a affirmé Martine Ouellet.

    Selon la députée, « La diversité culturelle est une grande richesse qui agrémente toutes les sociétés du monde. La francophonie en Amérique fait partie de cette diversité. Notre culture possède un noble bagage dont nous devons être fiers. C’est le Québec qui en est le foyer. Nous avons le droit de pouvoir en disposer sans contrainte, ni complexe. Je crois fortement que ce principe doit s’appliquer à toutes les appartenances du monde ».

    Pour orienter le processus, Martine Ouellet, souhaite collaborer avec la table de concertation des Partenaires pour un Québec français qui a pour mission de faire du français la seule langue commune et officielle au Québec. L’organisme uni 11 organisations dont les principales centrales syndicales du Québec et les mouvements de la société civile se portant à la défense du français. « Je veux m’assurer d’agir en étant connectée avec les différents milieux qui seront davantage concernés par ces mesures. Il y a toute une expertise qui s’est développée sur l’enjeu de la langue au fil du temps au Québec. Je compte m’y référer et travailler avec l’ensemble des acteurs », a ajouté la candidate.

    Le français, langue officielle

    En proclamant « le français, langue officielle » du Québec, la Loi 101 originelle reconnaissait le français « langue de la législation et de la justice ». Des jugements de la Cour Suprême du Canada ont toutefois invalidé les dispositions qui spécifiaient que « seul le texte français des lois et des règlements est officiel » et que la justice devait être rendue en français.

    La Loi 101 stipulait également que le français était la langue de l’administration publique dans son fonctionnement interne, dans ses relations avec les autres gouvernements et personnes morales établies au Québec, de même qu’avec les citoyens. L’usage de l’anglais était considéré comme une exception.

    Aujourd’hui, le français et l’anglais sont sur un pied d’égalité pour la législation et la justice, et le bilinguisme est devenu pratique courante dans l’administration publique. « Le français est la langue officielle ou elle ne l’est pas. Actuellement, elle ne l’est plus. Nous ferons en sorte qu’elle le redevienne. Nous reviendrons aux dispositions d’origine de la Loi 101 pour la législation et la justice », d’affirmer Martine Ouellet.

    Le français, langue commune

    La Loi 101 visait à ce que le français devienne la langue « normale et habituelle » dans le monde du travail. Dans plusieurs milieux, ce n’est toujours pas le cas. Des secteurs échappent à la législation et le laxisme règne dans les secteurs assujettis à cette loi. L’équipe Ouellet s’engage à étendre les dispositions de la Loi 101 aux entreprises qui relèvent du Code canadien du travail – 135 000 employés dans 1760 entreprises (banques à charte, Air Canada, etc.) – et aux entreprises de 25 employés et plus. Les comités de francisation dans les entreprises seront revitalisées et leurs actions raffermies en instaurant une obligation de résultats.

    Constitutionnaliser la langue française

    « Les juges de la Cour Suprême du Canada réduisent la Charte de la langue française à une série de droits individuels, alors que le docteur Camille Laurin avait insisté, dans le Livre blanc à l’origine de la Loi 101, sur la singularité de la Charte parce qu’« à la différence des autres lois, elle porte sur l’ensemble de la vie en commun ». Selon lui, la Charte avait pour objectif de « compléter, en matière de langue, les droits reconnus aux individus par la Charte québécoise des droits et libertés de la personne ». Je m’engage à poursuivre son œuvre en enchâssant dans la Constitution initiale et définitive d’un Québec indépendant la langue française comme langue officielle de la République du Québec », de déclarer Martine Ouellet.

    Lorsque l’on demande à la très grande majorité des Québécois quel est leur vecteur d’appartenance premier à la société à laquelle ils appartiennent, ils répondent : la langue française. « Le sentiment d’appartenance et la possibilité de pouvoir bien communiquer entre nous, forment les piliers du caractère sain de notre démocratie. Il est de notre responsabilité d’en être garant », a conclu la députée.

  • Martine Ouellet déplore la dérive du débat

    Montréal, le 17 juillet 2016 – La candidate à la chefferie du Parti Québécois et députée de Vachon, Martine Ouellet, déplore la dérive dans laquelle ses collègues Alexandre Cloutier et Jean-François Lisée plongent le débat présentement.

    « Mes collègues Jean-François Lisée et Alexandre Cloutier font des artifices avec un mélange de laïcité et de vœux religieux, ils font du clientélisme pour dévier le débat des véritables enjeux de cette course, l’indépendance du Québec. Ils font le jeu de nos adversaires en évitant de prendre l’engagement de faire l’indépendance dans le prochain mandat », a déclaré la candidate.

    « Pour avoir toute la marge de manœuvre nécessaire, pour avoir les coudées franches, afin de faire du Québec un État laïc, il faut ne plus être astreint à la Constitution canadienne, il ne faut plus être contraint par la Charte des droits et libertés canadienne et ne plus être soumis aux décisions de la Cour Suprême du Canada. Ça nous prend un État indépendant. J’ai d’ailleurs déposé notre Plan Ouellet 2018-2022 pour la République du Québec afin que nous nous dotions enfin de notre propre Constitution, avec notre propre Charte des droits et liberté et nos propres tribunaux », a affirmé Martine Ouellet.

    « Ce que l’ensemble des autres candidats proposent aux membres du Parti Québécois et à tous les Québécois, c’est la même recette qu’à l’élection de 2014 où l’indépendance est tassée. C’est une recette qui ne lève pas, c’est une recette perdante. Que ce soit en reportant l’indépendance aux calendes grecques ou encore en attendant 6 mois avant la prochaine élection pour le dire, c’est du pareil au même. Ces recettes ne feront que perpétuer la fragmentation des indépendantistes. Pour gagner, il faut remettre l’indépendance au cœur des engagements du Parti Québécois. Les Québécois sont prêts à prendre leur pleine liberté, leur pleine responsabilité », a affirmé Martine Ouellet.

    « On constate qu’il y a actuellement un désintérêt envers la course. Ce n’est toutefois pas en reproduisant 2014 comme le font mes collègues que nous susciterons l’intérêt et l’enthousiasme, mais plutôt en apportant l’approche franche, assumée et rassembleuse qu’est celle de la République du Québec », a déclaré la députée.

  • Stratégie maritime: Avec un si mince bilan, le premier ministre n’a pas de quoi se « péter les bretelles »

    Québec, le 13 juillet 2016 – La députée de Vachon et porte-parole du Parti Québécois en matière de transports et de stratégie maritime, Martine Ouellet, trouve surprenant que le premier ministre Philippe Couillard vante les mérites de sa stratégie maritime en Europe, en s’attribuant des investissements qui ne sont pas de son ressort, puisqu’ils proviennent en vaste majorité du gouvernement canadien.

    « Le premier ministre se pavane en Europe alors qu’il n’est pas en mesure de faire réparer le quai de Rimouski, ville phare de l’expertise québécoise. Comment peut-il, dans sa stratégie maritime, s’attribuer le mérite de ces investissements dans des infrastructures fédérales? Pour le reste, il s’agit d’un amalgame d’annonces qu’il utilise pour gonfler artificiellement sa stratégie. De plus, ces annonces découlent principalement de la stratégie touristique mise en place par le gouvernement du Parti Québécois », a déclaré Martine Ouellet.

    « C’est la façon de faire de ce gouvernement, des mots creux, des annonces vides. Les libéraux ne sont même pas en mesure de régler la protection de la zone de reproduction du béluga à Cacouna. Ils insistent pour faire un pôle logistique à Soulanges qui, en plus d’être situé sur les meilleures terres agricoles de la région, favorise le port de New York au détriment du port de Montréal. Sans parler des nombreuses sagas de la Société des traversiers : dépassement de coûts, mauvaise communication dans les commandes, hausses de tarifs. Pour une vraie stratégie maritime, il faut rapatrier tous nos actifs : ports, quais, voie maritime, et pour ce faire, le Québec doit être indépendant », a-t-elle conclu.

  • Plan Ouellet 2018-2022 : Pour une République du Québec

    Montréal, le 12 juillet 2016 : La députée de Vachon et candidate à la chefferie du Parti Québécois, Martine Ouellet, accompagnée de Louis Bernard, secrétaire général du Conseil exécutif avec René Lévesque et Jacques Parizeau ; Gilbert Paquette, ministre du Parti Québécois avec René Lévesque ; Vincent Lemay-Thivierge, candidat de Québec Solidaire dans St-Jérôme en 2012 et 2014 ; et de Nic Payne, candidat à la chefferie d’Option Nationale en 2013, a déposé son plan pour redonner le pouvoir au peuple avec la mise en place d’une République du Québec

    « L’indépendance se fera par et pou r tous les Québécois. Faire une République, c’est redonner le pouvoir au peuple en rejetant la monarchie britannique et en établissant une véritable démocratie. En 2018, c’est clair : le Parti Québécois et l’indépendance du Québec seront les seules alternatives au régime monarchique britannique, rejeté par la grande majorité des Québécois. Nous ferons, ensemble, la République du Québec ! », a déclaré Martine Ouellet.

    En effet, la Reine Elizabeth II est constitutionnellement le chef d’État en titre du Canada. Ce régime archaïque, en lien avec le droit divin et du sang et hérité de la colonisation anglaise, est rejeté par 86% des Québécois (Léger, 2009). Martine Ouellet souhaite que le Québec quitte ce régime archaïque de monarchie constitutionnelle pour redonner le pouvoir au peuple avec la mise en place de la République du Québec.

    L’indépendance, par et pour le peuple
    Dès son élection, le gouvernement indépendantiste de Martine Ouellet aura le mandat de réaliser l’indépendance du Québec. Alors, pour la première fois de son histoire, le peuple québécois aura la chance de se doter d’une constitution. Il réalisera ainsi, par le rapatriement au sein de l’État du Québec de toutes ses lois, de tous ses impôts et de tous ses traités, la République du Québec.

    Le gouvernement indépendantiste de Martine Ouellet adoptera une démarche constituante en trois temps : un grand débat national sur la République du Québec, un référendum sur l’indépendance du Québec et finalement, la concrétisation de la République du Québec.

    Débat national sur la République du Québec
    Le gouvernement de Martine Ouellet mettra sur pied une Commission préconstituante, formée de commissaires représentatifs de tous les milieux, qui sera chargée de consulter les Québécois de toutes les régions sur un Livre vert portant sur le projet de société et sur la Constitution initiale de la République du Québec.

    C’est à partir du rapport de la Commission que sera élaboré le Livre blanc sur la République du Québec. Ce livre illustrera concrètement ce qui pourra être entrepris en tant que pays, en ce qui concerne, notamment, la décentralisation des compétences et des ressources dans les régions, le développement de l’emploi et la sécurité du revenu des personnes, l’essor du français et l’accueil des immigrants, les institutions démocratiques et la justice.

    Merci à Louis Bernard, secrétaire général du Conseil exécutif avec René Lévesque et Jacques Parizeau, Gilbert Paquette, ministre du Parti Québécois avec René Lévesque, Nic Payne, candidat à la chefferie d’Option Nationale en 2013, et Vincent Lemay-Thivierge, candidat de Québec Solidaire dans St-Jérôme en 2012 et 2014, d’avoir été à mes côtés ce matin lors de la présentation du plan!

    Le gouvernement de Martine Ouellet permettra aux Québécois de se prononcer, par référendum, sur le statut politique du Québec ainsi que sur la constitution initiale du Québec indépendant.

    « La démocratie est une valeur fondamentale au Québec. Le référendum est une décision prise par le peuple et pour le peuple, c’est le meilleur outil de démocratie directe qui soit. Nous avons l’ambition de redonner le pouvoir aux Québécois en construisant un pays qui correspond à leurs aspirations. Pour y arriver, nous devons les consulter sur ce qu’ils souhaitent et les impliquer dans les décisions. Nous ne ferons pas comme le Canada », a affirmé Martine Ouellet.

    Concrétiser l’indépendance
    Dès le lendemain de la victoire indépendantiste, le gouvernement de Martine Ouellet mettra sur pied une Assemblée constituante. Elle représentera les Québécois de tous les milieux et de toutes les régions, incluant les représentants de la communauté anglophone, et aura pour mission d’élaborer la Constitution définitive de la République du Québec. Elle tiendra aussi compte des discussions à établir avec les Premières nations du Québec et les Inuit.

    Le gouvernement du Parti Québécois, sous la direction de Martine Ouellet, engagera rapidement les discussions avec le gouvernement canadien sur le partage des actifs et des passifs, pour assurer un transfert ordonné des administrations publiques, pour la continuité des relations commerciales et pour le maintien des relations amicales entre les deux États.

    « Avec ce plan, nous nous donnons les moyens de réaliser concrètement l’indépendance et de mettre en place les fondements démocratiques et légaux de la République du Québec. Avec ce plan, nous nous donnons les moyens de nos ambitions ! », a conclu Martine Ouellet.

    Plan Ouellet 2018-2022 – Pour une République du Québec

  • Martine Ouellet investira 450 M $ en culture et en communications

    Montréal, le mardi 5 juillet 2016 – Martine Ouellet, députée de Vachon et candidate à la direction du Parti Québécois, accompagnée des artistes Marie-Anne Alepin, Sylvie Legault et Denis Trudel, a présenté aujourd’hui ses propositions en culture qui s’appuient sur un investissement majeur de 450 millions $ sur cinq ans.

    Un investissement gagnant
    Dès la première année du gouvernement Ouellet, le milieu culturel québécois verra les investissements en culture augmenter de 90 millions $, pour un total de 450 millions $ sur 5 ans.

    « La culture, c’est l’âme d’un peuple et je compte soutenir nos créateurs, nos auteurs, pour une plus grande diversité créative au Québec et ce, dans toutes nos régions. Avec un investissement de 450 M$ sur cinq ans, la culture québécoise et nos artistes pourront rayonner encore davantage, tant sur la scène nationale qu’internationale. La culture est l’un des trois secteurs les plus créateurs d’emplois et donc un investissement très rentable, surtout avec un tel bassin de créateurs ! », a déclaré la candidate.
    Arrimer nouvelles technologies et équité
    La multiplication des plateformes de diffusion dans l’industrie culturelle a grandement affecté les revenus que les artistes tirent de leur art. Par exemple, un artiste québécois ne touche que 10,2 cents en redevances pour chaque 1000 écoutes sur le logiciel d’écoute libre Spotify. Il importe donc de se pencher sur cette problématique.

    « Il ne faut pas que les nouvelles technologies soient synonymes d’appauvrissement de nos créateurs. Elles augmentent notre capacité de diffuser l’art et la culture, mais il faut trouver une façon de s’adapter afin de garantir un retour équitable aux artistes. Je m’engage à trouver les solutions appropriées en travaillant de concert avec tous les intervenants concernés par la question des redevances. Dans un Québec indépendant, on aura tous les leviers pour intervenir face à cette situation préoccupante et en constant changement », a affirmé la candidate.
    TQI, réseau panquébécois d’information régionale
    Martine Ouellet compte aussi créer Télé-Québec Information, une chaîne québécoise d’information en continue, ouverte sur le monde et alimentée par des bureaux régionaux. Une plateforme web viendrait s’ajouter en support à TQI. À Télé-Québec, elle compte aussi ajouter un bulletin quotidien d’information.

    « En créant Télé-Québec Information, nous aurions accès à un réseau panquébécois d’information régionale en continu. Cela donnerait aux Québécois des informations de toutes les régions. Afin d’être ouvert sur le monde, nous comptons doter TQI d’une structure lui permettant de partager des contenus avec les services de médias étrangers », a soutenu Martine Ouellet.

    Par ailleurs, lorsque le Québec sera indépendant, Télé-Québec serait intégré à la portion québécoise du financement et de l’expertise de Radio-Canada.
    Des mesures diversifiées et ciblées pour tous nos artistes
    Martine Ouellet propose aussi les mesures suivantes, qui visent plusieurs acteurs milieux de notre vie culturelle :

    • Investir dans de nouveaux concours pour la relève musicale tels que Secondaire en spectacle, Cégeps en spectacle, le Concours musical international de Montréal, le Festival international de la chanson de Granby et Ma première place des arts.;
    • Augmenter le nombre de sorties artistiques pour les élèves du primaire et du secondaire. En plus d’être bénéfique pour la jeunesse, cette proposition engendre une plus grande diversité artistique en région et elle crée des emplois pour les artistes ;
    • Créer des bourses de déplacement et d’hébergement pour nos artistes, en collaboration avec nos délégations et nos futures ambassades ;
    • Soutenir les créateurs directement en augmentant les bourses aux artistes et aux écrivains du Conseil des lettres et des arts du Québec (CALQ) ;
    • Augmenter la diffusion de nouveaux films d’auteur et de documentaires québécois à Télé-Québec. Il est d’une importance capitale d’encourager les cinéastes du Québec à continuer leur travail essentiel de création. Grâce à eux, le Québec rayonne dans le monde.
    • Soutenir l’achat de livres québécois dans les écoles primaires et secondaires. Cela permettrait d’ajouter 200 000 nouveaux livres dans nos écoles et ainsi d’appuyer nos auteurs et l’ensemble du milieu littéraire.

    « On a une culture diversifiée, vivante et forte au Québec. On a qu’à penser à Robert Lepage, Xavier Dolan, Dany Laferrière, Yannick Nézet-Séguin, Céline Dion, le Cirque du Soleil et tous les autres. Il faut faire tout ce qui est en notre pouvoir pour que les artistes québécois continuent de rayonner chez nous et partout à travers le monde ! », a conclu Martine Ouellet.

  • Plan Ouellet 2018 : Pour la victoire des indépendantistes

    Québec, le jeudi 30 juin 2016 : Martine Ouellet, députée de Vachon et candidate à la direction du Parti Québécois, accompagnée de Maude-Amélie Verville, présidente du Parti Québécois de La Peltrie, Araceli Fraga, présidente du Parti Québécois de Louis-Hébert, de France Salvaille, militante aux OUI-Québec Capitale-Nationale, et de Philippe Lavoie, conseiller aux communications au CRJPQ Capitale-Nationale, a présenté aujourd’hui son plan d’action préélectoral 2016-2018 devant l’Assemblée nationale.

    Ça commence maintenant !
    Le Plan Ouellet 2018 se développe sur trois axes : mobiliser le Parti Québécois, soutenir la convergence des indépendantistes et consulter la population sur le projet de pays. En somme, c’est une série d’engagements constituant la route de la victoire des indépendantistes à l’élection d’octobre 2018. « Qu’on le veuille ou non, la prochaine campagne électorale portera sur l’indépendance du Québec. On doit se préparer. Avec ce plan, on sera prêt à livrer et à remporter une campagne qui portera sur l’indépendance, tant au niveau de la mobilisation que du contenu. Si nous aspirons à une victoire à la prochaine élection et si nous voulons réaliser l’indépendance du Québec, on doit commencer dès maintenant ! », a déclaré Martine Ouellet.

    « Nous avons tout un travail de mobilisation et de pédagogie à faire. Nous devons inspirer de nouveau la confiance et la fierté, tout en étant à l’écoute des préoccupations des gens. C’est exactement ça que le Plan Ouellet 2018 apporte », a ajouté la candidate.

    Se donner les moyens de nos ambitions
    Pour faire une mobilisation efficace, les indépendantistes doivent se donner les moyens de leurs ambitions. Le Parti Québécois de Martine Ouellet mettra donc des outils d’information à la disposition des militants, par exemple, les 50+1 réponses pour l’indépendance.
    « Il faut vulgariser ce que sera l’indépendance et ce que ça impliquera dans le quotidien des gens. Qu’est-ce qui va arriver avec la monnaie? Avec les pensions? Avec l’armée? Avec les frontières? Avec l’assurance-emploi? Qu’est-ce qu’on a à y gagner? L’objectif est de faire en sorte que tout soit compréhensible, dès le premier coup d’œil. Il faut parler à tout le monde, pas juste aux initiés. D’ailleurs, non seulement il sera produit en français, mais aussi en plusieurs autres langues ! », a affirmé la députée.

    La candidate s’engage aussi à soutenir solidement la convergence des indépendantistes en participant de façon proactive à la table des OUI-Québec. De plus, avec Martine Ouellet comme chef du Parti Québécois, le parti s’engagera dans un dialogue social avec l’ensemble de la population. Il consacrera les ressources nécessaires à l’organisation d’événements populaires et intégrera dans sa plateforme de 2018 les principaux consensus résultants de cette consultation.

    Renverser le fardeau de la preuve
    Sous la direction de Martine Ouellet, le Parti Québécois illustrera en quoi les décisions du fédéral nuisent aux Québécois. Les indépendantistes doivent absolument travailler ensemble, à tous les paliers, pour démontrer concrètement en quoi le système canadien contraint et limite le Québec. « En unissant nos voix, nous pourrons faire une critique sévère du gouvernement libéral, mais aussi des conséquences du régime canadien pour les Québécois ! », a déclaré la candidate.

    Un plan jusqu’à l’indépendance
    Martine Ouellet présentera prochainement son plan suivant la victoire électorale de 2018 pour convaincre une majorité de Québécois de réaliser l’indépendance du Québec à l’intérieur de ce mandat.

    Le document complet:

    Plan Ouellet 2018